Être vachue s’est merveilleux 01
Because of my low skill in the english language, I wrote it in french. If someone of this community wants to translate my work, please feel free.
Ths and best regards
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Être Vachue c’est merveilleux- Chapitre 1, par Lemaringouin
La visite à la ferme laitière
Stéphanie est une jeune professionnelle de 32 ans. Elle est responsable d’une équipe de journalistes dans une maison d’édition de magazines variés et très populaires. Son équipe est formée de jeunes journalistes, tout juste sortis de l’école, et sans trop d’expérience. Ses autres collègues ne l’apprécient pas car elle semble toujours avoir une attitude hautaine. En fait c’est surtout dû à son caractère autoritaire et aussi à son orientation sexuelle : elle est bi-sexuelle. Elle aime les hommes, mais a aussi une forte attirance pour les belles jeunes femmes. Elle aime s’adonner aux plaisirs saphiques. Cela crée quelques frictions avec ses collègues, féminins, car elles ont toujours l’impression que Stéphanie les harcèle, et masculins, car ils aimeraient conduire la belle dans leur lit, mais elle est très sélective et veut toujours être maîtresse de la situation, ce qui irrite les machos de son bureau. Son directeur doit admettre qu’elle dirige bien son équipe et fait une synthèse toujours à point et correcte sur les sujets et articles qui sortent de son département. Par contre il est fatigué de recevoir des plaintes à son sujet, de la part de ses collaborateurs et collaboratrices sur son comportement aussi bien à l’interne qu’à l’externe avec les personnes interviewées. Son attitude désobligeante envers la gente masculine, et son regard trop bienveillant envers la gente féminine, la font passer pour une lesbienne et une dominatrice dans son entourage. Pourtant il faut bien dire que Stéphanie a des atouts physiques non négligeables, qui font tourner le regard des hommes qu’elle croise, et aussi des femmes envieuses de sa beauté. C’est une grande brune de 1,70 mètre de haut, avec une face angélique, des yeux noisette, une bouche pulpeuse, et surtout une poitrine protubérante avec une taille de bonnet 32 DD, une ceinture svelte, de longues jambes fines et bien musclées, bref une vraie belle femme.
Un beau matin son directeur, Pierre Dérocher, la fait venir dans son bureau pour une nouvelle tâche.
Bonjour Stéphanie, assieds-toi, je voudrais que tu ailles faire un reportage sur une nouvelle industrie qui semble progresser vertigineusement
Oui, de quoi s’agit-il? Je pourrai y envoyer un de nos reporter
Non, en fait je voudrais que cela soit toi qui y ailles
Ah bon! Et quelle est cette société?
Il s’agit d’une laiterie qui fournit du lait maternel. Elle opère depuis 4-5 ans et est en nette progression. Je veux que tu y ailles pour rencontrer son directeur qui t’attend et répondra toutes tes questions. Il te mènera aussi visiter ses installations. Tu écriras ensuite un papier que nous publierons dans notre prochain magazine, car je crois que ce thème intéressera plusieurs de nos lectrices. Tu prends l’auto de service et tu y vas maintenant, car j’ai déjà contacté Mr Claude Bacquet, le directeur, il t’attend.
Stéphanie, un peu contrariée, veut se désister de cette tâche, mais Pierre lui explique que c’est elle la mieux placée pour cette entrevue. Elle sort alors du bureau de Pierre, et passe prendre ses affaires dans son bureau, puis se dirige vers la réception pour retirer les clés de l’auto de service. Élodie, la réceptionniste lui tend les clés avec un large sourire.
Tu as de la chance toi de pouvoir sortir de ce bureau. J’aurai bien aimé aller avec toi visiter cette laiterie, mais Pierre ne veut pas.
Stéphanie semble un peu surprise que Élodie soit déjà au courant de cet interview, mais prend les clés d’un air dédaigneux et quitte le bureau, contrariée. Comment Pierre a pu dévoiler à Élodie le but de sa sortie. C’est vrai qu’entre ces deux-là, il doit se passer quelque chose, mais cela ne la regarde pas.
Stéphanie roule deux heures avec la voiture dans la campagne, aidée du GPS, car la laiterie se trouve assez éloignée de son bureau. Elle arrive devant un bâtiment isolé, entouré de grilles. Elle s’approche de l’interphone du portail, et s’identifie en expliquant le but de sa visite. Une voix féminine lui répond :
Ah oui, Mr. Bacquet vous attend. Je vous ouvre le portail. Suivez le chemin jusqu’à la zone de parking pour les visiteurs.
Stéphanie stationne l’auto à l’endroit indiqué et pénètre dans la réception : une grande salle illuminée par de large vitres teintées ce qui empêche de voir de l’extérieur, l’arrangement du local. Elle s’approche du comptoir où une grande brune vêtue d’une blouse blanche la reçoit avec un large sourire. Le regard de Stéphanie est attiré par l’imposante poitrine de son interlocutrice. pense-elle.
Asseyez-vous, Claude sera avec vous dans quelques instants. Voulez-vous un café?
gaziantep ucuz escort Non merci, cela va comme ça
La réceptionniste contacte alors le directeur par l’interphone, et sa voix retentit dans tout l’édifice.
Claude, la journaliste que tu attendais est arrivée
Quelques instants plus tard, une porte située derrière la réceptionniste s’ouvre et un grand gaillard d’environ 40 ans, les cheveux poivre et sel et un corps d’athlète apparaît.
Vous devez être Stéphanie! Je suis Claude Bacquet, le directeur de cet établissement : la laiterie AU BON SEIN. Votre directeur Pierre Dérocher m’a contacté hier pour m’annoncer votre visite et son désir de réaliser un reportage sur notre société. Venez, suivez-moi dans mon bureau, nous pourrons en parler.
Stéphanie suit Claude et les deux pénètrent dans le bureau du directeur. C’est une vaste salle équipée d’un large bureau et de fauteuils en cuir. La décoration y est sobre. Claude lui indique de s’assoir dans le fauteuil en cuir en face de son bureau.
J’ai une réunion importante dans quelques instants, mais je vais vous mettre en contact avec notre responsable de production, qui répondra à toutes vos questions
Il décroche alors le téléphone et compose un numéro.
Claudine, peux-tu venir dans mon bureau, la journaliste dont je t’ai parlé hier est arrivée.
Se dirigeant alors à Stéphanie il lui propose un rafraîchissement, que celle-ci refuse poliment. Quelques minutes après la porte s’ouvre, et une grande blonde aux cheveux coiffés en queue de cheval et portant une blouse blanche pénètre dans le bureau. Stéphanie est ébahie par la vision de cette belle jeune femme. Elle a des yeux bleu clair et une bouche aux lèvres pulpeuses sur un visage angélique. Elle doit avoir à peu près l’âge de Stéphanie. Sa blouse est un peu transparente laissant percevoir les sous-vêtements portés par cette déesse Ce qui attire son attention, c’est que la transparence de sa blouse de travail laisse percevoir une culotte assez large avec des petits point verts, qui ressembleraient à de fleurs, et son soutien-gorge, volumineux, mais dont le bout des bonnets semble terminer par des cônes de couleur rouge. Elle n’a jamais vu ce type de sous-vêtement, ce qui l’intrigue assurément. Stéphanie évalue la poitrine de la nouvelle venue à du 34 J, mais ce sont les deux protubérances coniques, qui pointent à travers le tissu, qui l’intriguent énormément. Stéphanie reste bouche bée devant cette beauté tandis que Claudine lui tend la main. Claude est médusé par la scène. Stéphanie reste hypnotisée devant l’assistante du directeur qui la dévisage et semble la manger des yeux. Claudine s’en rend aussi compte. Stéphanie finit par donner la main à la nouvelle venue.
Bon! Claudine, je te laisse le soin de t’occuper de Stéphanie, de répondre à toutes ses questions dans le détail et ensuite de lui faire visiter nos installations. Je dois quitter maintenant, mesdemoiselles, ma réunion m’oblige, mais je serai de retour dans quelques heures pour finaliser l’entrevue.
Très bien, répondit Claudine. Venez Stéphanie, allons dans mon bureau, nous y serons plus tranquilles.
Les deux femmes sortent et Stéphanie, durant le trajet, admire la croupe de Claudine, qui se dandine devant elle. Elle n’a d’yeux que pour cette culotte, qui semble être trop grande pour les fesses qu’elle cache. Claudine exagère sa démarche en avançant vers son bureau. Elle ouvre la porte et fait entrer la jeune journaliste et l’invite à s’assoir.
Bien, posez-moi toutes vos questions pour votre article.
Stéphanie ouvre alors son portable et s’apprête à taper ses notes.
Depuis combien de temps cette société existe-t-elle?
La compagnie a été créée il y a déjà cinq ans à la suite d’une demande gouvernementale, à cause d’une pénurie de lait maternel et d’un besoin social.
Je vois, mais qui sont ces femmes qui donnent leur lait?
Nous avons toutes sortes de candidates. Je m’explique. En premier lieu, un des critères, est que nos candidates doivent être en bonne santé. Elles doivent aussi avoir des seins naturels et assez volumineux. Nous rejetons les petits seins car peu productifs. Ensuite, la sélection provient tout d’abord d’une liste exhaustive fournie par le gouvernement.
Comment les autorités peuvent-elles avoir des données sur les volumes des seins de femmes?
En fait ce n’est pas comme ça! Le gouvernement nous envoie des femmes qui sont sous sa juridiction, par exemple des femmes qui sortent de l’orphelinat, après leur dix-huitième anniversaire. Comme elles ne peuvent pas rester dans ces institutions, le gouvernement leur donne la possibilité de rembourser leur dette envers la société. Pour ce faire elles ont été préparées dès l’âge de leur puberté.
gaziantep ucuz escort bayan Ah, et comment
Ces jeunes filles sont d’abord préparées pour avoir un développement adéquat de leur poitrine. C’est un protocole très strict. C’est le même protocole que nous appliquons ici, pour les candidates volontaires.
Et en quoi consiste ce protocole?
Et bien il est basé sur une nourriture appropriée, des injections de prolactine et une formation psychologique adéquate.
Stéphanie semble de plus en plus intéressée par les explications de Claudine. Celle-ci le remarque immédiatement. Elle continue donc avec ses informations en entrant plus profondément dans les détails. Stéphanie ne tape plus sur son ordinateur, subjuguée par la description du protocole. Bientôt, elle pourra d’ailleurs en faire l’essai personnellement, pense en elle-même Claudine, qui continue sa narration.
Nous recevons aussi des prostituées qui ont été arrêtées par la police. Ces femmes-là ont déjà une bonne formation physique et psychologique. Le protocole est plus simple. Ensuite viennent aussi des femmes recueillies à cause de violence conjugales ou abusées sexuellement. Pour celles-là il faut rebâtir leur confiance en elles même. Enfin nous avons aussi des volontaires qui apprécient ce que nous leur offrons, c’est-à-dire la liberté, la sécurité, l’amour et les plaisirs.
???
Et oui, toutes nos candidates sont logées dans des chambres individuelles, qu’elles aménagent à leur goût, elles sont nourries et peuvent vaquer à toutes sortes d’activités
Mais elles sont prisonnières chez vous.
Pas du tout, elles sont libres de sortir, de quitter l’établissement, de faire une autre vie. Mais en fait une fois qu’elles ont pris goût à leur fonction, elles ne veulent plus nous quitter. Elles ont toutes été sélectionnées pour leur aptitude à fournir du lait de qualité et en quantité. Elles ont passé une batterie de tests dans une de nos cliniques, et sont traitées ici avec beaucoup de soin. Pour elles c’est comme si elles étaient dans un club de vacances. Elles sont toutes heureuses de donner leur lait, ce qui leur apporte une fierté d’être utile à la société, et comme je vous aie dit auparavant, elles en tirent beaucoup d’avantages, aussi bien au point de vue matériel, que spirituel et surtout sexuel.
Ah oui?
Oui, en donnant leur lait, elles sont devenues des VACHUES.
Pardon?
Oui, le terme provient de la contraction des mots vaches et humaines. Cela provient de l’anglais américain HUCOW. Elles sont donc micro-pucées avec un numéro qui leur est propre. Cela leur permet de suivre toutes les procédures de production, repos, nourritures et loisirs.
??????? Vous les traitez comme du bétail?
Non, rassurez-vous, elles sont très bien traitées et elles adorent ce qu’elles font. Elles en prennent même du plaisir!
Combien de temps ces candidates passent-elles ici? Combien de temps nos seins peuvent-ils produire de lait?
Nous les appelons ici des vachues. Cela dépend de leurs productions. Une vachue peut fournir son lait en moyenne pendant 25 ans et même parfois plus. Rappelez-vous, dans le temps les nourrices étaient des femmes âgées. Une fois leur lait épuisé, elles pourront retourner dans la société, si c’est ce qu’elles veulent, ou bien rester chez nous et travailler comme assistantes. Nous avons besoin de personnel pour s’occuper de tout notre cheptel et lui fournir les meilleurs traitements. Je suis personnellement une vachue et je travaille aussi comme assistante de Claude.
Stéphanie comprend alors le fait que cette belle blonde qui se trouve devant elle possède une poitrine exubérante. Stéphanie tout en jetant un coup d’œil sur la poitrine de son interlocutrice et sur ce soutien-gorge, qui lui paraît très bizarre, continue à taper sur son clavier. Claudine remarque amusé, suit le regard de Stéphanie, qui lève alors les yeux, en rougissant.
Et quel type de lait produisez-vous ici?
Dans mon cas je produis du lait standard, mais notre société produit trois sortes de lait : le lait nature, comme le mien, commercialisé pour les nourrissons, du lait amélioré pour les vieillards dans les institutions gouvernementales et du lait en poudre pour l’export.
Combien de candidates, euh vachues avez-vous en production.
Actuellement nous en avons une cinquantaine, mais notre objectif est d’en avoir plus de cent. Nous agrandissons nos installations en ce sens et sommes toujours à la recherche de nouvelles vachues. Nous faisons actuellement du marketing. Nous avons aussi de journées portes ucuz gaziantep escort ouvertes.
Et qui vient à ces journées?
Beaucoup de femmes intéressées. Il y a aussi quelques hommes, soit qui accompagnent leurs conjointes, et qui les incitent pour qu’elles amorcent une lactation en suivant nos régimes, pour leur propre plaisir, soit des hommes seuls, curieux de rencontrer nos vachues. Durant la visite, nous faisons des dégustations. Tous sont alors agréablement surpris de la qualité de nos produits et services. Ils deviennent des clients potentiels et assidus. Vous en ferez aussi l’expérience, dans la dégustation pendant notre visite!
Ah?
Oui, nous allons vous faire gouter nos différents produits.
Stéphanie n’a pas d’inconvénient à boire du lait, mais du lait de femme, cela fait bien longtemps qu’elle n’en a pas bu. Depuis sa toute jeune enfance, alors que sa mère la faisait téter. Elle a eu le sain jusqu’à l’âge de huit ans, car sa mère voulait lui donner toutes les défenses possibles contre les maladies. Elle adorait ça, et elle se souvient que sa mère semblait prendre un énorme plaisir à la faire téter directement de ses seins.
L’article que vous allez écrire et publier dans votre magazine, fait partie de notre politique de publicité. Nous commençons aussi à faire des présentations dans les prisons pour femmes. Nous espérons en embaucher plusieurs.
Ce n’est pas risqué? Ces femmes ne seront pas faciles à garder ici. Elles ne doivent pas être très dociles! J’ai déjà visité ces prisons, et ce n’est pas du gâteau! Ce sont de vraies rebelles!
Oh! Aucun souci! Ici nous sommes équipés pour les tranquilliser et les assagir! De plus elles vont vite y prendre goût! Elles ne voudront jamais quitter ces lieux! Ici ce n’est pas une prison, bien au contraire! Ce n’est que du plaisir assuré, et en plus elles se sentiront utiles à la société. Elles auront ainsi payé leurs dettes pour les crimes qu’elles auront commis.
Stéphanie est surprise par ce qu’elle entend. Elle n’avait jamais pensé que ce genre d’institutions puissent exister. Le fait de penser à ces femmes avec des poitrines très développées, l’excite. Claudine s’en rend compte et pour couper court à cet interview, elle propose à Stéphanie de visiter les installations
Allons voir nos installations, si tu le veux bien. Je peux te tutoyer, car nous avons à peu près le même âge!
Oui, bien sûr, lui répond Stéphanie
Bon, allons au vestiaire où tu pourras te changer et mettre l’équipement réglementaire pour la visite.
Claudine prend alors la main de Stéphanie et la dirige vers le vestiaire
Tu dois te dévêtir, mais tu peux garder tes sous-vêtements sous la blouse. Pour les souliers, nous te donnerons des chaussons appropriés.
Stéphanie s’exécute en déboutonnant son chemisier qu’elle ôte, et sa jupe qu’elle plis et place ses vêtements avec soin, sur le cintre que Claudine lui présente.
Nous placerons tes vêtements dans le casier ici.
Claudine aide Stéphanie à enfiler sa blouse.
Tu as aussi une belle poitrine! Tu dois porter du DD, n’est-ce pas?
Stéphanie rougit et dis
Oui, comment le sais-tu?
En travaillant ici on apprend à juger la taille des seins. En tout cas tu as une belle poitrine
Merci. Toi aussi tu en as une belle.
Oui, elle a grossi avec le traitement que j’ai pris et le fait de me la traire régulièrement. Moi, c’est du J, mais avant je faisais du DD comme toi.
Ah oui? Elle a grossi tant que ça? Et est-ce que cela te dérange?
Non, pas du tout, je l’aime plus maintenant. Et elle est toute naturelle, et elle me donne beaucoup de plaisir
Comment ça?
Rien qu’au contact de mes mamelons, avec un tissu, une langue ou les doigts expérimentés d’une main, je jouis.
Je vois, moi aussi je suis une jouisseuse des mamelons.
Claudine place ses mains sous ses seins et les secoue avec vigueur. Stéphanie la regarde faire, mais ses yeux traduisent une envie exagérée de les prendre dans ses mains à son tour. Claudine le remarque. Elle prend alors les mains de Stéphanie et place les paumes sous sa poitrine pour que la journaliste puisse juger de leur poids. Elle déboutonne ensuite sa blouse et ôte le soutien-gorge.
Il est bizarre ton soutien-gorge. C’est quelle marque?
Ce sont des soutien-gorge spéciaux. Le bout des bonnets a une ventouse qui crée un vide et donc étire les mamelons. C’est pour affermir le bout de nos seins. Tiens tâte mes mamelons.
Stéphanie approche sa main au téton droit de Claudine, et avec son index et son pouce elle pince légèrement la protubérance mammaire.
Comme ils sont durs. Est-ce qu’ils te font mal?
Non, certainement pas. Au contraire ils ne me donnent que du plaisir. C’est tellement bon se les faire étirer par la trayeuse. Tu vas voir, nos vachues n’éprouvent que du bonheur. C’est très agréable de sentir la montée de lait et de se le faire extraire. Allons vers les salles de traite.