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Ondine

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OndineDébut des années 1990. Début de mes années lycée aussi. J’ai les hormones en ébullition depuis de trop longues années, de nombreuses heures de masturbation solitaire au compteur, en un mot une adolescence déjà bien entamée.Nouveau lycée, nouvelle ville, nouvelle vie. Et un copain, que je nommerais Francis qui me signifie assez vite que son amie Ondine n’est pas insensible à mes charmes. N’étant pas nécessairement un garçon extrêmement séducteur, ni même séduisant, l’occasion fit le larron et c’est ainsi qu’Ondine devint ma petite amie. Nous vivions chacun nos vies au lycée, fréquentions nos amis respectifs mais trouvions toujours deux ou trois moments par semaine pour nous retrouver tous les deux et nous bécoter amoureusement. Ce n’était pas vraiment le grand amour pour moi, mais c’était mieux que rien et elle-même semblait s’en satisfaire d’autant plus qu’elle n’était pas non plus très fusionnelle. A posteriori, je dirais même qu’elle était assez distante.A l’époque, je pensais que c’était mon physique, alors particulièrement ingrat, qui en était la cause : imagine un corps d’enfant qui a subi une trop forte poussée de croissance et pris trop vite vingt centimètres : un corps définitivement longiligne sans la moindre trace de graisse, ni de muscle d’ailleurs, le tout couronné par un visage envahi d’acné. Je pouvais déjà m’estimer heureux d’avoir une dulcinée dans ces conditions. Remarque quand même qu’elle n’était pas non plus prix de beauté, Ondine. Tout comme pour moi, la puberté avait laissé des traces trop nombreuses sur son visage et elle, aussi, avait le corps qui avait changé trop vite : un physique de poupon izmir escort enrobé, des kilos en trop mais aucun qui ne soit synonyme de formes féminines ou de volupté. Son look n’arrangeait rien d’ailleurs : de jolis yeux cachés par de grosses lunettes, des vêtements plutôt informes, soigneusement choisis pour éviter de dévoiler quoique ce soit, des cheveux châtains coupés courts, comme un mec,Nous étions à la fois définitivement bien assortis, portant chacun le calvaire d’une adolescence dont on attendait avec impatience qu’elle finisse, et terriblement timides. Ce fut donc presque un miracle conjoint qu’à force de complots nous arrivâmes à nous organiser au bout de six mois pour avoir un après-midi “rien qu’à nous”. Evidemment, cette expression dont nous usions tous les deux lorsque nous en parlions, nous n’en ignorions pas le véritable sens : ce serait pour Ondine et moi, notre première fois. J’en rêvais depuis des semaines mais je suis certain que c’est elle qui a proposé qu’on franchisse ce pas.Un samedi après-midi, après de nombreux mensonges à nos parents et alors que les siens étaient absents de leur domicile, nous nous sommes donc retrouvés tous deux dans sa chambre. Enthousiasmé par la perspective qui s’offrait à moi, je crois que j’ai bandé dès le seuil de sa maison franchi et à peine assis sur son lit, nous nous sommes embrassés. A pleine bouche, avec néanmoins toujours cette passion malhabile propre aux débutants dans le grand pbain de la vie. Nos baisers durèrent longtemps avant que nous passions à des choses plus physiques. En tout cas, dans ma mémoire, je le crois. Mais j’étais à la fois impatient izmir escort bayanlar et très embarrassé de faire le premier pas, ma notion du temps et le quart de siècle qui nous séparent de cette date des faits peuvent troubler mon jugement. C’est elle qui a donné le signal du début des hostilités en m’otant chemise et T Shirt pour caresser mon torse, alors mince et glabre. Elle a alors collé sa bouche contre ma poitrine et j’ai senti comme une ventouse autour d’un de mes tétons. La demoiselle s’accordait sur celui-ci des audaces que jamais elle ne s’était permise sur ma bouche. Elle aspirait à perdre haleine, puis reprenait son souffle en donnant des coups de langue mutins avant de me croquer délicatement. En un instant, je tombais sur le dos, abandonné à cette caresse buccale, incapable de quoi que ce soit d’autre que de caresser ses cheveux. Profitant de l’instant de répit qu’elle m’accorda en jetant son dévolu sur mon coté gauche, j’en profitais pour entreprendre de lui ôter ses vêtements. Je me souviens que ce fut pas chose aisée. Si sa chemise à carreaux, très kurt-cobainienne, ne me résista pas longtemps ; comme tous les adolescents malhabiles, l’agrafe de son soutien-gorge me causa bien des soucis. Elle a du m’assister pour que j’en vienne enfin à bout. Immédiatement nos deux poitrines se sont alors collées en même que nos lèvres, de nouveau réunies dans un baiser fougueux. Nous avons alors roulé sur le lit quelque temps, nos bas-ventre irrigués de désir collés l’un à l’autre. Puis une fois nos pantalons otés, nous nous sommes glissés sous les draps, la pudeur maladive qui caractérisait les deux adolescents izmir bayan escort que nous étions subsistant encore, malgré tout.J’ai, alors, enfin, découvert un corps de femme et m’y suis consacré du mieux que je pouvais. Sa poitrine, petite, aux seins encore tombants parce qu’ils n’avaient pas fini de pousser fut néanmoins un délicieux terrain de jeu buccal. Le long baiser passionné à ce nombril qui tronait au milieu de ce joli ventre rebondi. Le frisson qui parcourut mon échine quand, glissant ma main dans sa culotte, sa pilosité chatouilla mes doigts. Ses mots qui m’encouragaient tendrement tandis qu’elle caressait mon sexe en érection depuis tant de temps. Je me souviens de tout. De cette sensation inouïe d’aspiration au moment de la pénétrer. De la chaleur et de la douceur de ce sexe offert. Des éclairs dans nos yeux rivés les uns dans les autres à cet instant précis. Du long baiser passionné qui accompagna les premiers va et vient, d’abord lents. De l’instant où nos ardeurs augmentant, nous cessames de nous embrasser pour haleter à l’unisson. De son orgasme, à elle, totalement silencieux. J’ignore en revanche comment ses contractions pelviques ne m’ont pas fait jouir dans l’instant et par quel miracle j’ai réussi à m’extraire de son sexe, me débarasser du préservatif et à jouir sur son joli ventre potelé.Après cette étreinte, nous sommes allés, chacun notre tour, toujours aussi pudiques, prendre notre douche, puis nous nous sommes accordés un long moment de sieste, nos corps nus l’un contre l’autre, sous les draps.Deux semaines après ces instants qui marquèrent notre première fois commune, nous avons décidé de nous séparer. Ondine n’était pas la petite amie qu’il me fallait et je n’étais définitivement pas son type. Néanmoins je persiste à croire que nous étions faits l’un pour l’autre pour partager ensemble ce moment-là de nos vies respectives.

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