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Le tout pre mier jour

Blowjob

Le tout pre mier jourNous étions entrés de façon forcenée dans nos vacances. Il était inconcevable que nous ne fassions pas le plein de sensations durant ces quinze jours. Il y a sûrement du puéril et du pathétique là-dedans. Ainsi autant de barbares que nous déferlent et émigrent du nord au sud chaque été. Nous étions limités cependant en nos ambitions par un modeste budget. Il y eût l’opportunité d’une promo d’abord et de dernière minute. Puis un ami nous avait pistonné auprès du responsable de la résidence. Celle-ci surplombait de deux kilomètres une belle plage de sainte Maxime.Je me souviens ce jour-là d’un trajet pénible et laborieux sur l’autoroute. Je crus que la chaleur et les bouchons auraient eu raison de notre pauvre guimbarde. Les quelques fois où nous dépassions un véhicule en panne, nous songions qu’une pareille échéance serait fatale à notre titine. Qu’il la faudrait abandonner dans une casse alentour. Avec un budget plus confortable nous aurions loué un bolide plus affûté et moderne. Notre départ ressemblait à une fuite précipitée d’Égypte. En d’autres temps nous aurions pris cela à la rigolade. Cette fois-là nous avions le couteau entre les dents.Nous fûmes pas peu soulagés de voir un panneau signalant à dix kilomètre le terme de notre odyssée. Nous avions échappé au pire. Une fumée inquiétante s’exhalait en effet du capot. Nous convînmes de laisser en repos au moins deux jours notre auto et si besoin était de la retaper. De loin la résidence ne paraissait point du dernier chic ou du moins les photos sur le site avait été trop flatteuses. Peu importe la piscine nous ouvrait les bras et sauvait l’honneur. Telle une furieuse et après m’être affublée d’un deux pièces je me jetais dans l’eau laissant mon mâle défaire les valises.Cette eau fraîche, ce soleil brûlant parvinrent peu à peu à me rasséréner. J’eus même une crise de larmes et de bonheur. Il me semblait avoir mis entre un proche passé soucieux et le moment présent, une distance marquée et significative. Le répit était acquis. J’avais droit à respirer. Je fermais les yeux. Je retournais en enfance dans le temps d’innocence. Mon corps renouait avec tout un jeu de sensations calmes et heureuses. Peu loin face à moi deux mâles mataient. Ainsi étais-je rassurée quant à mon charme. Tout n’était pas perdu. Des envies de garce me gagnaient déjà.Lorsque je revins à l’appartement, mon homme était en conciliabule avec un gros type dont je ne vis d’abord que le dos massif. Je devinais qu’il s’agissait du responsable de résidence et dont nous avait parlé l’ami. Cependant le bougre ne semblait pas tant si agréable. Au contraire il nous annonça sans ambages qu’il n’estimait guère notre ami et que celui-ci était un coquin qui lui devait beaucoup d’argent. Cela commençait mal. Je vis que mon bonhomme au lieu de le calmer se fourvoyait tout au contraire. Nous étions sur le point de compromettre le début de notre séjour.Je raclais le fond de ma gorge pour signaler un peu de ma présence. Le butor daigna à peine se tourner et me serrer la main. J’eus assez de peine pour m’immiscer dans güvenilir bahis la conversation. Enfin je parvins à convaincre cet imbécile que c’est moi qui en le couple portait le pantalon et avec qui il fallait discuter. Il esquissa enfin un sourire. Ce genre d’abruti n’aime rien tant qu’on leur résiste. Il méprise à bon droit les faibles et les minables. Nous avions sur ce sujet de quoi nous entendre. Je lui dis qu’outre les arrhes nous lui ferions deux chèques dont l’un pouvait être touché maintenant.D’un ton abrupt je lui signifiais qu’à présent j’allais me doucher et venir le voir peu après avec les chèques en question. Il se retira avec force courbettes obséquieuses. Je n’en vis pas moins son regard libidineux sur mes jambes. Ce butor était un porc. Ce genre de considération loin de me rebutait me rassurait au contraire. J’avais le mode d’emploi de pareils imbéciles. Je n’en morigénais pas moins mon mari. Il avait l’art de tout faire foirer. Comme pour le punir, je l’abjurais avant une douche de s’enquérir de notre auto et de dispenser à celle-ci les premiers soins.La douche froide me retapa. Je grillais lentement et avec saveur une cigarette. De la fenêtre je pouvais voir en contre-bas le parking où s’affairait mon pauvre bonhomme. J’avais été dur avec lui. Je me promettais cette nuit de me faire pardonner. J’avais envie de toute façon d’une bonne queue te de me donner. Par jeu je tins à me parfumer et me maquiller avant d’aller visiter l’autre sagouin. Dans le même ordre d’idée je m’affublais d’une mini-jupe de cuir et d’escarpins sonores. La garce en avait pris toute possession de moi. De la coursive je fis un signe à mon gars lui adressant un baiser.Au bout de vingt mètres on voyait signaler le nom de l’imbécile sur une porte. Je frappais. J’entendis sa voix désagréable de l’autre côté. Il sursauta non pas qu’il avait oublié ma venue mais il ne m’avait pas prévu assortie de la sorte. Ne lui laissant point de répit et avant même qu’on m ‘en invitât, j’étais déjà assise cuisses croisées et l’escarpin se balançant déjà au bout du pied. De même avec irrévérence avais-je déjà allumé ma cigarette le toisant bien du regard. Je jetais avec mépris sur son bureau mes deux chèques. Il crut devoir se confondre encore en excuses.Cette canaille partit sur une théorie qu’aujourd’hui on ne pouvait guère faire confiance à personne. Qu’il avait du assumer nombre de chèques en bois… Etc. Sur ce point je tins à lui préciser que je pouvais substituer à mes chèques des paiements par carte bleue. Il m’assura qu’il me faisait confiance. Son ton décidément était radouci. Il me proposa de boire à la santé de notre venue. Il pointa les bouteilles d’un petit bar en son dos. Je pris un Martini avec des glaçons. Je n’avais cure qu’il dévorât impunément du regard mes cuisses. Il me signifiait par là son intérêt pour la chose.Je pris cette occasion pour lui parler des prestations auxquelles on avait droit. Il invoqua alors l’ami dont il avait dit tant de mal. Il me dit qu’au nom de l’amitié de celui-ci il était prêt à nous faire quelques fleurs. Par exemple türkçe bahis notre auto aurait droit à un espace couvert et qui plus est s’étant enquéri de l’état de celle-ci, il me dit qu’il avait un pote qui pour rien nous la retaperait. Enfin examinant mes cuisses que j’avais décroisé, il ajouta que pour moi il était prêt à ce que ce séjour fut agréable. Je souris répondant : « Oui il faudra nous quitter bons amis. »A cet instant le téléphone sonna. Je vis son visage se métamorphoser. Devant moi il parvint à peine à se contenir. Il était prêt à agonir son interlocuteur. J’en trouvais l’effet comique. Je choisis ce moment comme pour devoir l’apaiser à ouvrir tout grand mes cuisses. J’étais résolue à ce qu’il vit que ma culotte était ce jour-là rose et d’une transparence voulue au point qu’on pouvait à la fois considérer le relief précis d’une chatte et repérer de là en là de rares poils pubiens. J’aimais souvent à offrir aux mâles ce genre de spectacle. Je m’affichais ainsi impunément comme salope.Je gagnais en effet à le calmer. Il l’engueulait l’autre comme en sourdine et au ralenti tandis que son regard vrillait en direction de ma chatte. De temps à autre il croisait mon regard pour s’assurer qu’il ne rêvait pas. Il rencontrait mon sourire. Enfin il raccrochât. A ce moment je me levais tel l’oiseau fuyant la branche de l’arbre où il s’était posé. En effet il se fut sans doute jeté sur moi. M’aurait peut-être violé. Je l’avais assez chauffé en ce sens. En garce avisée je lui signifiais que c’était partie remise. Je lui dis avant de partir : « Je compte sur vous. » Sur la dalle je fis claquer mes talons.Cette nuit-là j’exhortais mon mâle à me prendre avec sauvagerie. Notamment à m’enculer ce dont il ne se fit prier. Fermant doucement les yeux je me représentais : « Enfin les vacances. » Je songeais outre à de nouvelles queues à celle du porc. Il fallait m’assurer de celui-ci assez vite. J’aspirai aussi à celle des deux beaux gosses du bord de la piscine mais leur temps viendrait. Ils avaient un conjoint et cela m’excitait d’autant. Mon mari quoiqu’il en soit bénéficierait de mes excitations et fantasmes. De même je fermais les yeux sur ses actes. N’étions-nous pas en vacances ?Comme convenu notre auto fut retapée. Nous pouvions en user pour aller à la plage et visiter l’arrière-pays. Mon mari n’en tiqua pas moins quand il sut pour le parking couvert. Je lui clouais le bec par la formule sempiternelle : « T’occupe ! Je contrôle. » Je lui laissais accroire que je m’étais contenté d’allumer seulement le porc. Ce con se devrait contenter de se branler à ma seule évocation. Cependant il ne me déplaisait pas d’exciter de la sorte la jalousie de mon mari. Il me baisait la nuit avec plus de rage. La compétition et la rivalité apportant ainsi plus de piment au sexe.Mon mari ayant sympathisé avec un résident féru de VTT, ils étaient partis aux aurores pour un circuit de soixante kilomètres. Ils reviendraient peu avant onze heures. J’affectais ma mauvaise mine car j’étais toujours trouvé peu gracieux les sportifs de la pédale. Mon bonhomme crut güvenilir bahis siteleri devoir me concéder un resto chic le soir sur Sainte Maxime. Je décidais du coup ce matin d’aller régler mes affaires avec le porc. Je frappais aux entours de 09H00. J’arborais une jupe plus courte que l’autre fois. J’avais pris soin qu’on ne me vit entrer de la sorte dans son bureau. Il fut surpris.Après avoir fermé la porte je tins à m’asseoir non pas sur le fauteuil de l’autre fois mais sur son bureau au coin à quelques centimètres de lui. La surprise passée, enfin un sourire illumina sa face de rat. Il avait compris. Il se leva pour afficher sur la porte un panneau signifiant son absence. Il ferma à clef. Une boule m’emplit alors le ventre. Je connaissais ce trouble partagé entre désir et peur. J’étais révulsé de me donner à pareil personnage. N’empêche j’avais faire pire en ma vie. Au boulot maintes fois avais-je fait la pute. Je ne renâclais pas à l’effort quand il fallait.J’eus bientôt son haleine fétide sur le cou. Il léchait celui-ci. Sa force était énorme. Je ne pouvais que céder à pareille puissance. En un instant il jeta à bas tout ce qui était sur le bureau pour m’installer dessus cuisses ouvertes. Il s’enquit à me dévorer et lécher la chatte. Sa langue goulue me transporta alors à la dernière extrémité. Je ne fus jamais autant subjuguée de la sorte. Je ne m’y attendais pas. En un instant mes préventions tombèrent. Résolue à me donner entière. Il me pénétra furieusement et sans peine. J’avais envie d’une bite. Il me bourrait ahanât désespérément.Des mots orduriers émaillaient ses coups de boutoir. Les doux noms de : pute, salope, traînée sifflaient à mes oreilles. J’étais familier de ce jargon. Il m’allait droit au cœur. J’eus à peine répugnance à lui rendre ses baisers lorsqu’il m’obligeât à l’embrasser durant l’acte. Une putain de toute façon doit se rendre sans partage. Le coquin voulut disposer de tout. Mes seins furent pelotés, mordillés, léchés. De même il s’avisa qu’on pouvait entrer facile dans mon cul. Je ne dédaignais pas que mon mari souvent me fistât. Mon anus était devenu comme une autoroute.Ainsi fus-je enculée irrémédiablement ce jour-là. Il en fut réjoui et comme épaté. Il m’avoua que d’autres garces montraient à cela plus de réticence et de manières. Je n’étais pas la première dont il usait et abusait dans son bureau. C’était un des privilèges de sa fonction. Je lui avais tapé d’emblée dans l’œil. De même il avait eu soupçon assez vite de mon vice. Il en était maintenant confirmé. Au final j’obtins la note suprême après que je l’eus sucé démontrant tout mon talent en ce subtil exercice. J’avalais sans rechigner son foutre. Me prenant la taille, il m’invitât à revenir bientôt.Je sortis un peu perplexe des bras de ce minotaure. En effet bien que j’eus joui sans mélange avec lui, je me sentais à présent comme souillée. La douche et des brassées dans la piscine ne seraient pas de trop pour me laver de ce péché. J’affectais de bouder le retour du mari. Celui-ci harassé ronflât l’après-midi. Le resto du soir nous réconcilia. Peu de temps je fus attrapé enfin par les deux beaux gosses. Je n’en du pas moins et chaque jour passer à la casserole. Ce fut somme toute de magnifiques vacances. Je pris mal pourtant que mon mari dit au porc que nous reviendrions un jour.

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