Femme D’officier en Territoire Ara
The young wife dilemma II (Black Demon)
Les mois qui suvirent la femme du capitaine O’Brien resta à la base, n’osant pas s’aventurer en ville. Elle était malade de honte de se retrouver enceinte à la suite d’un abominable viol. Engrossée par le pervers Raheem ou bien par son serviteur, le colosse complètement idiot qui s’appelait Mimba. Elle revoyait toujours l’image obsédante de la monstrueuse queue de Mimba, elle avait la taille de celle d’un âne qu’adolescente elle avait observé dans un zoo.
Et cette monstrueuse queue avait forcé son vagin, cela lui avait fait très mal lorsqu’il était imposé dans sa moule, mais ensuite comment s’était-elle abaissée à demander à cet idiot de continuer à la baiser …. De jouir dans son ventre …..Elle soupira de désespoir.
Madame Lauren O’Brien se sentait nerveuse lorsqu’elle faisait l’amour avec son mari, son empressement à lui plaire et faire l’amour avec lui ces derniers mois démontrait sa frustration. Jamais le capitaine O’Brien n’avait vu sa femme aussi entreprenante si entreprenante qu’il giclait prématurément s’endormant alors épuisé tandis qu’elle remâchait sa frustration, frustration qu’elle calmait en se branlant avec le manche de sa brosse à cheveux dans l’intimité de sa salle de bain.
Mais elle était hantée par l”image de la monstrueuse bite de Mimba lorsqu’elle se branlait … Elle pensait qu’avec sa bite d’âne il l’avait fait jouir comme personne n’y était parvenu. Puis son corps apaisé, elle retournait s’allonger le long de son mari, mais elle se sentait coupable et honteuse de devoir calmer ses sens de cette manière.
Toutes les nuits Lauren pensait à son enlèvement, et chaque fois cette pensée lui provoquait de puissants orgasmes, d’autant plus dans ses périodes de frustration. Mais les rapports avec son mari la laissaient maintenant insatisfaite, il ne la faisait plus grimper aux rideaux, et chaque fois elle comparait avec la grosse bite noire de Raheem, avec les orgasmes fulgurants qu’il lui procurait.
Lauren s’était juré de ne plus s’aventurer hors de la zone sécurisée, ainsi elle ne craignait plus de rencontrer son suborneur ou son horrible garde du corps.
Toutefois, elle ignorait que Raheem avait des contacts suivis avec plusieurs officiers de la base, et entre autre avec un haut gradé noir.
Lors de la construction de la base, Raheem avait fraternisé avec ce haut gradé, le colonel Bruce Simpson, qui couvrait une partie des activités illégale de Raheem dans la base.
En échange, Raheem, le ravitaillait en héroïne, et parfois avec les filles qui tombaient entre ses mains. Raheem avait noté la joie du colonel lorsqu’il lui avait permis, deux ans plus tôt, de baiser brutalement deux jeunes blanches tombées entre ses griffes.
Comme Raheem voulait étendre son réseau de vente de drogue aux alentours de la base, il savait qu’il devrait négocier avec le colonel.
Et il savait ce qui l’amènerait à couvrir ses manoeuvres, ce serait le prix à payer s’il voulait faire un tour dans la culotte de la jolie madame O’Brien.
Il savait que le colonel débauché aurait donné sa jambe gauche pour visiter la petite culotte de la belle madame O’Brien.
De fait, le Colonel Bruce Simpson faisait une fixation sur la jolie femme, les renseignements de Raheem s’avéraient exacts.
Il était aussi avide de satisfaire ses envies de femelles blanches que de se procurer de l’héroïne.
La vue de ces nombreuses femelles blanches sur la base exacerbait sa frustration. Il avait mis 20 ans pour obtenir son grade et il avait du garder sa bite dans son pantalon pour ne pas risquer de se retrouver en retraite anticipée.
Il passait ses nuits à se branler en pensant aux femelles blanches peuplant la base, et souvent, plus particulièrement à la somptueuse madame Lauren O’Brien, la femme du capitaine Pat O’Brien.
Combien de fois avait-il rêvé poser ses grosses pattes noires sur le corps délicieusement blanc de cette savoureuse petite salope. Combien de fois avait-il rêvé se vider les couilles dans sa petite chatte blonde.
La rencontre entre Raheem et le colonel se déroula exactement comme Raheem l’avait prévu. Comme Raheem ne disposait d’aucune esclave blanche dans son camp, le colonel avait jeté un oeil sur quelques filles noires et réclamait sa dose habituelle d’héroïne ainsi qu’une importante somme d’argent que Raheem se refusait à payer.
Ils en étaient là de leurs échanges, lorsque Raheem sortit de son porte feuille une photo de la mignonne madame O’Brien, il sourit en voyant Bruce Simpson écarquiller les yeux alors que la mâchoire lui en tombait, il avait les yeux rivés sur la photo.
Raheem venait clairement de prendre l’avantage dans leur négociation, il savait que le colonel convoitait avidement cette jolie femme.
Le colonel Simpson était obnubilé par l’idée de pouvoir profiter des charmes de la plus jolie femme de la base. Il n’avait jamais été si proche de la posséder, depuis le temps qu’il en rêvait …..
Il se demandait si elle était encore pucelle du trou Kızılay travesti du cul, il adorait être le premier à casser le cul de ces petites salopes. Lorsque Raheem évoqua la possibilité de savourer la cassette vidéo la concernant, le colonel traita sa négociation par dessus la jambe, tant il était pressé de la visionner.
De retour au camp, après avoir visionné la cassette rapportant le viol de la jolie madame O’Brien, le colonel consulta le programme de vol. Il sourit en constatant que le Capitaine O’Brien et son escadron serait en grandes manoeuvres en Italie, la semaine prochaine. Cela laisserait sa femme seule, il pourrait donc en profiter. Il lui suffisait d’attendre la fin de la semaine pour abuser de cette belle petite salope. Diable après l’avoir vu fourrée par la gigantesque d’âne du débile qui s’était enfoncé au fin fond de son utérus, il brûlait d’envie de lui fourrer la sienne dans sa chatte domptée.
Le colonel Simpson souriait au spectacle de l’escadron de F-16 s’envolant pour l’Italie, ils rentreraient tard dans l’après-midi. Il fallait attendre le moment de la pause café dans le bureau du personnel féminin, il était censé, d’après le programme, leur tenir un petit discours. Habituellement, il n’aimait pas assister à ces événements assez barbants, mais il savait que la belle Lauren O’Brien, y assisterait, il l’avait vérifié sur le tableau de service, elle était l’une des hôtesses chargée de gérer l’événement.
En arrivant au club des officiers, il sentit sa queue s’ériger dans son pantalon lorsqu’on lui présenta l’accorte madame O’Brien. Lui tenant la main , il l’imaginait déjà le branlant de ses fines menottes jusqu’à projeter son jus d’homme dans son visage.
Mon Dieu cette petite salope est vraiment ravissante, constata-t-il.
Tout en se faisant présenter d’autres femmes d’officiers, il la regardait fixement la déshabillant des yeux. Lauren et les autres femmes d’officiers avaient profité de cette occasion pour s’habiller légèrement, elles étaient vêtues de courtes robes bleues avec des hauts talons blancs. Ce qui mettait en valeur les longues jambes de madame O’Brien. Regardant la jolie jeune femme, il avait du mal à croire qu’elle avait pu s’accommoder de la bite d’âne de cet enfoiré de Mimba, mais la cassette l’avait montrée clairement ses longues jambes ancrées dans le dos du colosse sa monstruosité engagée aux trois quarts dans sa minette distendue à l’extrême.
Jetant un oeil sur les femmes d’officiers, le colonel Simpson conclut rapidement que pas une ne parvenait à la cheville de la ravissante épouse du capitaine O’Brien. Pas une de ces femmes pourtant fort accortes ne pouvait rivaliser avec elle, il la regarda traverser la pièce pour discuter avec d’autres femmes il sentit à nouveau son excitation grandir,à l’idée de bientôt lui casser le pot.
Renseignements pris auprès de Raheem, ni lui, ni Mimba ne lui avaient cassé le pot. Il était certain qu’elle était pucelle du cul et il se promettait de lui élargir sacrément le goulot.
Une fois la rencontre terminée, Le colonel Simpson se dirigea vers sa proie, pour lui annoncer sa visite prochaine il voulait rencontrer le capitaine pour revoir certaines procédures.
-“Je devais le voir ce matin, mais je l’ai manqué, je passerai donc le voir en fin d’après-midi” commenta-t-il.
Lauren ne pouvait refuser la visite d’un officier de haut rang.
Elle avait déjà observé le colonel Simpson alors q’elle stationnait dans le parking des pilotes, toisant les femmes séduisantes de la tête au pied. Et elle s’était déjà sentie déshabillée par ces regards.
Le colonel surveillait le parking du mess des officiers par la fenêtre de son bureau, guettant le moment où elle apparaîtrait. Enfin il la vit arriver elle et son petit cul, ses longues jambes laiteuses, ses longues cuisses qu’il ne tarderait plus à lui faire écarter en grand pour libérer l’accès de sa cramouille.
e vais me la faire comme un pot de fraise, je vais lui casser le cul à cette jolie petite salope et ainsi terminer le travail entamé par Raheem et son imbécile de garde du corps se promettait-il déjà.
Il était facile pour un officier du rang du colonel Simpson de faire une ronde dans la base il n’avait de compte à rendre à personne. Il se dirigea carrément vers la porte d’entrée de leur résidence. Le voir dans cette zone, paraissait tout à fait naturel et n’attirerait l’attention de personne, même s’il préférait ne pas être vu.
En entendant la sonnette, Lauren alla à la porte d’entrée, elle jeta un oeil par le judas, et demeura interdite à la vue du colonel Simpson.
Elle se sentait gênée d’être seul chez elle en compagnie d’un autre homme que son mari, un grand noir, le supérieur hiérarchique de son mari. Elle frissonna d’énervement, lorsque, sans y être invité le colonel prit place sur le canapé.
Rentrant tout juste du mess, Lauren portait toujours la même tenue, il était peu habituel qu’un supérieur hiérarchique se rende chez un des ses subordonnés, qu’il s’impose sans Kızılay travestileri être invité d’autant plus lorsque son subordonné n’était pas là.
Lauren ne savait rien des pensées du colonel, mais à l’évidence elle le saurait bien vite. Elle sentait monter son angoisse en le voyant tranquillement assis sur le sofa, à ses cotés.
C’est alors que la bombe explosa lorsqu’il lui dit :
-“Ma chère madame O’Brien, je dois vous féliciter pour votre performance dans le film que l’ai visionné chez mon ami Raheem.”
Lauren frissonna à ces mots, elle était paniquée, elle ne parvenait pas à reprendre sa respiration, la pièce lui sembla tanguer.
Sous le choc, elle s’affaissa contre le dos du sofa, paniquée, glacée de peur.
Son corps se mit à trembler lorsque, souriant ironiquement, il posa la main sur ses douces cuisses blanches, puis elle se mit à haleta bruyamment lorsque la main indiscrète, disparut lentement sous sa jupe. Elle grogna sourdement, secouant la tête, yeux fermés en sentant la main fouineuse lui caresser la bande de chair aux abords de la petite culotte.
Elle serra les cuisses emprisonnant ses mains, mais les doigts fureteurs parvinrent à leur destination, sa fente qui déjà était inondée de ses secrétions intimes, ce flot de jus détrempant son fond de culotte.
Une fois encore son corps trahissait son esprit alors qu’elle se tortillait sur le sofa.
Le colonel Simpson sourit goguenardement, en voyant la jolie jeune femme perdre le contrôle de son corps, il écarta facilement ses cuisses reprenant ses investigations.
Il glissa alors ses doigts sous la bande élastique de sa petite culotte, son majeur dénicha son clito si sensible, il le roula entre ses doigts, elle s’arc-bouta alors sur ses pieds travaillée par un premier orgasme.
Il entreprit alors un lent gamahuchage de sa chatte, elle ouvrait maintenant largement ses cuisses offrant ainsi un large accès à ses trésors intimes.
De sa main libre, il descendit la fermeture éclair de sa robe et la lui enleva la laissant en petite culotte et soutien-gorge de dentelle.
Il se réjouissait de la sentir déjà sous son emprise jambes grandes ouvertes, intimité livrée à sa concupiscence.
Il savait qu’il pouvait la prendre séance tenante, là sur le canapé, il suffisait de la toucher pour qu’elle perde tout contrôle.
Un coup sec de ses puissantes mains et la fragile petite culotte se déchira comme du papier, exposant sa toison d’or.
-“Oohhhhhh …. Mon Colonel …….. Nonnnnnnnn …. Je vous en prieeeeeee….Mon colonel ……. S’il vous plaittttttt….” gémit elle alors qu’il plongeait la tête sur sa fente.
-ôohhhhhhhhhhhh ……. ôohhh …….. ohhhhhhhh ……. ohhhhhhhhhhhh … ” haleta-t-elle sourdement lorsqu’il fouilla les replis de sa fente d’une langue taquine.
-“Oôoh, Mon Dieuuuuuuu …. Nonnnnnn……. ohhhhhhhhhh .. Je jouisssssss…….
S’écria-t-elle comme il refermait les dents sur son haricot bandé.
Dix minutes plus tard, Lauren ouvrit les yeux et frissonna à la vue du grand corps noir étendu nu à ses cotés. Ce n’était pas un cauchemar, ce jouisseur de colonel, en lui broutant le gazon l’avait menée au bord de l’évanouissement.
Et maintenant elle constatait qu’il s’était entièrement dévêtu pendant les quelques instants où elle avait perdu conscience. Elle était étendue mollement à ses cotés, lorsqu’il l’attira à lui, embrassant ses lèvres soyeuses.
Puis ses lèvres rampèrent sur sa peau tendre traçant leur chemin vers ses tétons rosis d’excitation, puis il continua vers sa fente, avant d’explorer à nouveau sa toison dorée.
Elle était en manque sexuel aussi arqua-t-elle ses reins lorsqu’il fouilla sa fente détrempée d’une langue habile.
Elle frissonna longuement, bouche grande ouverte, réagissant à la brûlante stimulation entre ses cuisses.
Elle frissonna à nouveau lorsqu’il profita de l’ouverture de sa bouche pour y glisser sa grosse bite raidie.
Il était curieux de voir comment cette petite salope s’accommoderait de sa grosse mentule.
Ayant observé son viol par Raheem et l’autre abruti à la bite de cheval, il lui semblait évident qu’elle était si chaude que son mari ne pouvait pas parvenir à la satisfaire.
La ravissante madame O’Brien tétait bruyamment la grosse bite, tentant d’en extirper la substantifique moelle.
Si seulement le bon capitaine pouvait voir sa gentille femme à cet instant, il continua à la caresser de la langue alors qu’il pouvait disposer d’elle à son gré, la baiser, se faire sucer …. Il pouvait tout se permettre.
-” S’il vous plaittttt….. Mon colonel …. Ne me laissez pas …… J’ai trop besoin de jouir ………!” sanglotait désespérément Lauren s’arquant pour retenir ses lèvres sur sa fente embrasée.
Elle était encore sous le choc lorsqu’il se redressa, elle serra convulsivement la grosse bite entre ses menottes le branlant frénétiquement. Le colonel Simpson grimaça un sourire et lui dit
-“Allons dans ta chambre Travesti kızılay que je puisse te baiser confortablement ….. Quelle meilleur place que le lit conjugal pour s’envoyer en l’air”
Lauren secoua la tête horrifiée.
-“Je vous en prie pas là …… Pas dans notre lit …… Partout où vous voudrez mais pas là …..”
Elle considérait cela comme un sacrilège, ce lit leur était réservé à elle et Patrick. Déjà qu’elle avait trahi ses voeux de mariage, et voilà que le supérieur hiérarchique de son mari voulait la posséder dans leur lit conjugal!!!!!
– “Je vous en prie …. Baisez moi ici sur le sofa ……”
plaida Lauren toujours agrippée à la grosse bite qu’elle cherchait à enfouir dans sa cramouille. Il recula son ventre pour lui interdire cette satisfaction.
-“Allez madame O’Brien , c’en est assez, emmenez moi dans le lit que vous partagez avec votre époux!”
Secouant misérablement la tête elle se leva difficilement tenant toujours la flamboyante flamberge entre ses mains délicates. Les yeux pleins de larmes, la tête baissée, refoulant ses plaintes, elle prit piteusement le chemin de leur chambre, entraînant le colonel d’une main ferme enserrant ses attributs virils.
Les larmes ruisselaient sur son visage lorsqu’ils pénétrèrent dans le sanctuaire conjugal, quelques instants plus tard, elle était allongée mollement sur le dos dans le confortable lit, ses cuisses étaient grandes ouvertes, le colosse noir installé entre elles.
Glissant la main vers le bas, elle saisit la grosse pine noire, elle la caressa sur toute sa longueur, réalisant qu’elle n’en faisait pas le tour doigts fermés, elle réalisa alors le danger de jouer avec ses attributs,
-“Je vais vous chercher une capote? ” demanda-t-elle inquiète.
-“C’est pas la peine ma petite chérie blanche …. Cela vaut même mieux puisque tu veux qu’on te fasse un bébé …… “
lui répondit le colonel Simpson fouillant sa fente embrasée de son gros gland.
-“Colonel …… Mon colonel, je vous en prie, Je ne veux pas me retrouver enceinte …..” plaida Lauren.
Mais une fois de plus son corps la trahit, elle arqua ses cuisses cherchant à happer le gros chbre noir pour ensuite l’enfourner dans sa cramouille.
-“Ohhhhhhh …. Ouiiiiiii …..” haleta-t-elle happant se cramponnant au membre massif.
Empoignant son gros chibre, il l’introduisit dans sa caverne impatiente, comblant un manque sexuel évident. Il s’enfonça alors centimètre par centimètre dans la gaine soumise de la jeune femme en extase.
Elle avait refermé les bras sur ses épaules, enserrant son buste dans l’étau de ses cuisses cherchant toujours à l’attirer plus profondément das son sexe élargi.
-“Ooh, mon colonellllll …….Mon colonellllllll …… .. ohhhhhhhh, oui ……. Baisez moiiiiiii….. encore ……. plus profond ………. plus profond …….” s’exclamait Lauren
s’arquant pour mieux enfouir sa virilité au tréfonds de son utérus. L’ancienne petite femme si naïve se muait en une goule insatiable, une consommatrice de grosses queues noires en particulier.
La labourant de violents coups de boutoir, il lui faisait apprécier toute la longueur de sa hampe enfouie jusqu’aux couilles dans sa moule enflammée. Puis désireux de l’humilier, il dit :
-“Que dirait ton capitaine s’il voyait sa précieuse petite femme en, ce moment madame O’Brien?”
-“En te voyant m’implorer de fourrer ma grosse bite noire dans ta moule?”
-“En me voyant t’injecter mon foutre épais de nègre dans ton petit trou?”
Elle se pinçait les lèvres pour ne pas répondre, surtout ne pas lui donner cette satisfaction.
N’entendant aucune réponse, il s’immobilisa, laissant sa mentule immobile à l’orée de sa caverne palpitante.
S’arquant sur les cuisses, forçant pour l’attirer contre son corps, l’enserrant de ses cuisses jointes, agitant sa chevelure de part et d’autre, elle clamait son désespoir cherchant désespérément à poursuivre l’acte enivrant.
Elle se saisit de la partie de la hampe sortie de son sexe, cherchant à la renforcer de force mais vainement, elle tomba alors dans son piège soupirant misérablement :
-“O S’il vous plait mon colonelllllll…..Je vous en prie …….Faites moi jouir …… Je vous en prieeeeeeee…..Ohhhhhhhhhhhh …. Mon Dieuuuuuuu……. Encore …….. Soyez maudit ………Baisez moi ……..Crachez votre jus dans mon ventre …….Soyez maudit …… Donnez moi votre semence …….. Crachez vitre jus de nègre dans ma moule ……….Maintenant …..Je vous en prie ………Faites moi un petit bâtard noir …….”
Le colonel Simpson exprima sa satisfaction en souriant goguenardement, et il reprit son rythme de croisière, l’affolant de profonds coups de boutoirs. Il se redressa soudain et d’un seul élan s’enfouit jusqu’à la garde dans sa moule engluée, son épais bourgeon jetant même un oeil curieux au delà de son col d’utérus.
-Oohhhh ………. Ohhhhhhh …….. ohhhhhhhhhhhhhhh …….. ohhhhhhhhhhhh …….ohhhhhhhhhhhh…….Mon Dieu …… Ouiiiiiii …..” s’écria-t-elle submergée par un nouvel orgasme.
Il se tenait au dessus d’elle contenant sa propre excitation, la regardant frissonner sous l’orgasme, puis son corps se relâcha, l’étreinte de ses jambes se desserra, elle gisait alanguie sur le lit.