Changements de vie pour Jessica 11
Je remercie Cathartico de m’avoir permis se traduire son histoire “Jessica’s Change Management” que vous pouvez trouver sur la partie anglophone de ce site.
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Aventures au fast-food.
Mon stagiaire me guide vers la rue de son quartier où se trouvent tous les restaurants et fast-food. Il me fait mettre dans la queue d’un drive de fast-food. Il y a une seule voiture devant nous. C’est alors que Daniel me fait une autre surprise. Il me dit :
– Allez Miss Allumeuse! Ouvre ton haut et donne une bonne surprise à ce pauvre travailleur!
Mon exposition publique n’est pas terminée. J’essaie de le regarder, mais je n’arrive pas à me mettre en colère.
– Allez petite chatte, tu sais que je le veux. Me taquine le latino.
Une fois encore, il tend la main pour la glisser entre mes jambes. Il effleure légèrement ma chatte, me faisant gémir. Il a raison. Dans mon brouillard d’excitation lubrique, la pensée qu’un gars qui travaille puisse voir ma grosse poitrine est aussi dépravée qu’excitante. Honnêtement, je désire ardemment que l’employé bave sur mon décolleté.
Toutefois je suis angoissée et mon estomac est tout retourné. Après tout, il s’agit d’en endroit public et nous sommes en plein jour. Avec mes doigts tremblants, j’attrape la petite lanière sur le devant de mon haut et j’ai tiré. L’ouverture en V s’est agrandie et ma grosse poitrine s’est presque évadée.
– Remue tes gros nichons pour nous petite chatte! Ordonne Daniel.
Obéissante, je fais ce qu’il dit et je bouge mes épaules pour faire balancer mes gros seins. Le tremblement a l’effet escompté par le jeune latino. Mes gros nichons sortent de plus en plus de mon haut. Daniel ne me laisse pas arrêter de remuer avant que mes deux mamelons soient bien visibles. Et ça arrive alors que la voiture devant nous s’en va.
– Vas-y salope! Me dit Daniel alors que je ne bouge pas.
Ses mots me font sursauter et me rende trop nerveuse. J’ai presque l’impression que mon cœur va exploser dans ma poitrine. Le moment est venu et je ne sais même pas si l’employé du Drive est un homme ou une femme. Ça n’a pas d’importance de toute façon. Il faut que j’obéisse sans y penser.
En arrivant au niveau de la fenêtre, je regarde le gars derrière la vitre. Il s’agit d’un latino qui a l’air plus vieux que moi. Ses yeux sont presque sortis de leur orbite quand il me voit avec mes gros nichons exposés. Instantanément son regard se pose sur ma poitrine. Et il n’écoute même pas ma commande.
L’employé du fast-food ne fait aucun effort pour cacher ses regards indiscrets ou pour dissimuler ce qu’il fait. En vérité il ne fait rien. Il ne dit rien et ne travaille pas non plus. C’est bien simple, il se contente de regarder mes seins.
TUUUUUTTTTTTT!
TUUUUUTTTTT!
Les clients dans les voitures derrière nous commencent à s’impatienter.
– Euhhh… bonjour! Pourriez-vous me donner ma commande? Dis-je à l’employé en essayant d’attirer son regard sur mon visage.
C’est alors que Daniel me réprimande.
– Tssss… ce n’est pas la bonne attitude pour une salope petite chatte. Excuse-toi auprès de cet homme d’avoir été grossière. Tu devrais le remercier qu’il fasse autant attention à tes atouts. Au moins il a reconnu ce que ça vaut.
Je renâcle devant le commentaire dégradant de mon stagiaire, mais je suis trop perdue dans mon brouillard. Les regards vicieux sont si agréables que je ne veux pas qu’ils cessent. Au lieu d’obéir, je commence à secouer les épaules pour faire balancer mes gros nichons devant l’employé latino.
TUUUUUTTTTTTT!
TUUUUUTTTTT!
Nous devons y aller avant que ça dégénère. Et si les autres clients sortent de leur voiture et viennent vers nous? Et si le responsable du restaurant prend conscience de la situation? Et si quelqu’un appelle la police et que je me fasse prendre pour conduite lubrique?
– je suis désolé Monsieur. Je m’excuse d’avoir été impolie. Merci Monsieur d’apprécier ma poitrine. C’est tout le talent que je possède.
Je m’humilie au grand amusement des deux latinos dans la voiture. Tandis qu’ils se moquent de moi, l’employé finit par revenir à la réalité et me tend le sac de nourriture.
– De belles grosses mamelles que vous avez là! Me dit-il alors que je démarre et file à toute vitesse.
Mais Daniel me fait arrêter sur le parking du restaurant, ce qui est étonnant, car nous venons d’utiliser le Drive pour avoir la nourriture. Je m’imagine que c’est simplement pour m’humilier un peu plus.
– Je ne crois pas que ce gars ne mérite qu’un regard. Me dit Daniel en commençant à grignoter.
C’est alors que Garcia intervient, la bouche pleine.
– L’employé c’est Chico, un de nos membres du « LGZ ». Et quel est ton rôle en tant que Pute de gang hein?
Je m’étouffe presque en l’entendant. Je me sens si stupide. Je ne pensais plus à mon rôle.
Daniel explique alors :
– C’est assez simple petite chatte. N’importe quelle salope désignée comme Pute de gang doit pouvoir offrir tous ses trous de baise à tout moment à Dikmen travesti nos potes.
– Un pote dit qu’elle doit ouvrir les jambes à tout moment et accepter tout pieu qui se présente. Tu comprends Pute de gang? Rajoute Garcia avec arrogance.
MON DIEU! Je dois être disponible pour tous les membres du gang! C’est trop dégradant! C’est trop avilissant. Pourtant je me sens si soumise. Donc, non seulement je dois être à la disposition de Daniel tout le temps, mais je dois être disponible pour tous les membres de son gang, peu importe qu’il soit là ou non.
– Toutefois, il faut que tu ressembles vraiment à une pute de « LGZ » ; Dit Daniel.
Mes pensées sont interrompues. Il ajoute :
– Débarrasse-toi de ton haut!
Il demande à Garcia de détacher son bandana noir qu’il porte autour de la tête et de me le tendre.
Le tissu noir dans ma main , je suis à court de mots. Mon estomac est totalement noué. En fait, pendant un moment, je me sens malade.
– je ne peux pas porter ça en public, ça ne cache rien. Et si je me fais arrêter pour exhibition publique? Dis-je après avoir enfin retrouvé ma voix.
Les deux gars ne font que rire avant que Daniel ne me rassure :
– Ne t’inquiète pas, c’est notre quartier. Tu es en sécurité aussi longtemps qu’un membre des « LGZ » est dans les parages.
Ça ne me calme pas beaucoup. C’est trop scandaleux. Indécise, je reste assise dans la voiture sans bouger.
– Ooohhhhh! Gémis-je soudain quand Daniel pousse un doigt de sa main droite dans ma chatte trempée.
Il me réprimande.
– Ne joue pas les grandes dames maintenant! Nous savons tous très bien que rien que d’y penser t’excite comme une bonne salope. N’est-ce pas petite chatte?
Puis subitement, ce voyou macho tire sa queue de son pantalon kaki et l’agite devant mon visage. Je ne peux pas m’empêcher de regarder ce gros membre veiné et dur. Il a un effet hypnotisant sur moi. Daniel demande :
– Tu veux ma bite n’est-ce pas? Ne le nie pas, j’ai vu tes yeux briller quand je l’ai sortie.
Il a raison. Je ne peux pas le nier. Merde, mon envie est si évidente! Ce voyou arrogant sait comment s’amuser avec moi.
– tu vas aller servie Chico avec le bandana et tu auras plein de bites pour tes trous gourmands petite chatte. Ajoute Daniel pour me stimuler.
Ma bouche bave presque à la vue de sa queue? Je voudrais attraper cette barre de viande et faire glisser ma main de haut en bas de sa si belle bite. Il me tiens. Je sais bien que je n’aurais pas de libération et satisfaction de la journée si je n’obéis pas.
Alors je le fais.
A la hâte, je fais glisser mon haut blanc au-dessus de ma tête, laissant mes gros seins en liberté. Ensuite je plie le bandana pour faire un triangle et je l’attache derrière mon dos. En baissant la tête, ça me semble obscène. Le haut du bandana couvre à peine mes seins. Il pend en triangle et ne couvre que mes tétons, laissant mon décolleté complètement exposé. Mes monticules de chair ne peuvent qu’attirer les regards.
Les deux voyous latinos m’applaudissent quand je sors de la voiture. Mais ils ne me suivent pas, me laissant seule face à mon destin.
Je suis debout au milieu du parking d’un établissement de restauration rapide assez pouilleux, dans un quartier populaire et pauvre, habillée en pute, les seins à peine recouverts, une mini-jupe en jean et des hauts talons. Non seulement je ressemble à une prostituée bon marché, mais j’en joue le rôle.
Aussi rapidement que mes talons me le permettent, je m’avance sur le parking. Ma poitrine se balance honteusement et mes globes de chair manquent de tomber du bandana à chaque pas. Le tissu a du mal à rester sur mes mamelons. Le poids de mes seins est important et fait que le bandana s’affaisse. La chair de mes nichons est presque totalement visible.
Mes paumes sont moites et ma bouche est sèche d’anxiété. Je ne suis pas sûr de savoir comment m’adresser à ce type. Mon cœur bat au rythme de mes talons sur le bitume. Mes pensées se bousculent dans ma tête.
Je ne veux pas faire ça! Pourtant je veux les frissons d’excitation qui vont avec.!
Un instant plus tard, je m’arrête devant la porte vitrée. C’est une étape importante pour moi de me jeter sur un inconnu simplement parce qu’il fait partie du bon gang. Cependant, attendre dehors sans rien faire n’améliore pas la situation. Les voitures passent et me voient habillée comme une pute. Plus j’attends, plus de gens vont me voir. Et s’il passait un groupe de gars du gang « LGZ »,ils me verraient et je devrais les servir eux aussi.
TUUUUTTTTTT.
Un camion klaxonne et s’arrête à côté de moi.
– Combien pour ta chatte? Me demande le conducteur en se penchant par sa fenêtre.
Sa question me fait sursauter. Le fait de réaliser qu’il s’est adressé à moi comme à une prostituée envoie une décharge dans ma chatte. Involontairement je remue mon cul devant lui et je lui réponds en ronronnant :
– Désolé chéri, déjà prise! Peut-être plus tard!
Putain, je suis tombée Dikmen travestileri dans le mode Pute si facilement. Ça me ramène dans mon océan d’envie et ça ferme mon esprit. Toutes mes objections sont parties et mon enthousiasme est réapparu.
Avec un sourire coquin sur le visage, je finis par pénétrer dans le restaurant et je me dirige vers le comptoir. L’établissement est presque vide. Il n’y a que deux tables occupées avec deux couples d’âge moyen assis à l’une et deux jeunes latinos assis à l’autre.
Bien sûr mon entrée ne passe pas inaperçue. Je peux sentir six paires d’yeux fixés sur mon dos nu et détailler mon cul à peine couvert. Debout au comptoir, je ne peux plus lever les yeux. Mon regard est fixé sur le sol. J’ai trop honte.
– Humm!
Finalement je lève les yeux quand j’entends un employé tousser pour attirer mon attention. Les joues brûlantes, je lève mon regard et je suis soulagé de voir qu’il s’agit du même employé que tout à l’heure, le dénommé Chico. Au moins je n’ai pas à expliquer pourquoi je veux être seulement servi par lui.
Tout en essayant de forcer un sourire sur mon visage, je luis dis en roucoulant :*
– Salut bébé. Je voulais te remercier encore une fois. Tu as été très gentil.
– Qu’est-ce que tu veux? Je n’ai pas le temps pour ces conneries! Me demande brutalement le latino avec un regard interrogateur.
Je continue en essayant de ronronner de manière séduisante :
– Ahhh chéri! Ce n’est pas des conneries. Tu vas y gagner, je te le promets bébé.
Je poursuis mon discours de salope aguichante en espérant simplement que les autres clients ne m’entendent pas. C’est vraiment stupide. Mais je ne peux pas m’arrêter maintenant. Je n’ai pas atteint mon but.
– Mon homme m’a dit que tu étais membre de gang. Dis-je pour raccourcir la conversation.
Saisissant la ceinture de ma jupe, je l’abaisse légèrement pour laisser apparaître le sigle « LGZ ».
– Je suis la chienne de Daniel. Et j’ai un cadeau spécial pour tous ses potes. Tu comprends bébé? Demandé-je.
A ce moment-là, Chico voit l’inscription sur le bas de mon ventre et ses yeux s’allument. Un sourire de compréhension s’étale sur son visage.
– Bon Dieu! Regarde ça! Daniel a attrapé une superbe couguar n’est-ce pas? Dit-il en riant.
Me déplaçant nerveusement d’un pied sur l’autre, j’espère pouvoir me mettre à l’écart des autres le plus rapidement possible. Les autres clients regardent toujours mon dos et ils semblent de plus en plus curieux de savoir ce qui se passe au comptoir. Mais Chico ne semble plus dérangé que je sois là. En revanche il semble savourer chaque seconde.
Au moins ça me donne le temps de détailler ce membre du gang des « LBZ ». Il doit avoir un peu plus de quarante ans avec une apparence rude et burinée. Avec son début de barbe et ses cheveux recouverts de gel, il a l’air sévère. Les tatouages à l’encre sur ses phalanges me font penser qu’il a probablement passé un peu de temps en prison. Ce n’est vraiment pas un gars avec qui je discuterai seule habituellement.
– Pourquoi ne m’emmènes-tu pas ailleurs que je puisse te remercier Bébé?
Je le supplie presque.
– Oh! Mais tu dois acheter quelque chose avant que nous n’allions ailleurs petite salope. C’est un restaurant ici tu sais? Me répond-il brusquement.
Et merde! Je dois acheter quelque chose pour le remercier! Je dois payer pour le sucer! C’est vraiment immonde. Mais de toute façon, je ne peux rien faire d’autre. Alors j’achète un cornet de frites
– je parie que tu veux fumer une cigarette avant que je t’apporte tes frites n’est-ce pas? Me demande-t-il après avoir pris ma commande.
Puis avant de faire demi-tout et de s’éloigner il me murmure :
– Tu vas te mettre à genoux à la porte de derrière et tu attends que je sorte. Allez salope!
Je suis seule devant le comptoir d’un un fast-food un peu miteux, et un type que j’ai rencontré seulement quelques minutes plus tôt m’ordonne d’aller me mettre à genoux derrière le restaurant. C’est incroyable! C’est une putain de situation incroyable!
Bien que je ne fume pas, je suis la suggestion du sévère membre de gang et je sors du restaurant. Je contourne le bâtiment et je me rends dans une petite cour protégée de la route par des murs. Un tas de poubelles sales et de bennes à ordure sont alignées le long des murs. Ça a l’air vraiment sale et mal rangé, mais au moins c’est hors de la vue de la rue et du restaurant.
L’endroit est quand même assez dégueulasse. Beaucoup d’ordures jonchent le béton. Et il n’y a pas beaucoup d’espace entre les poubelles. Mes genoux tremblent lorsque je m’agenouille, la porte arrière devant moi, une benne à ordure dans mon dos et deux poubelles de chaque côté. Je fais de mon mieux pour ne rien toucher.
Le latino me laisse attendre cinq bonnes minutes. Tout ce temps je reste docilement agenouillée au sol, les bras derrière le dos. Les ordures tout autour de moi me donne la chair de poule et ça empire quand je remarque l’odeur horrible Travesti dikmen de nourriture pourrie. A chaque minute qui passe, je suis de plus en plus anxieuse et dégoûtée.
Me laisser attendre dans cette position à cet endroit est un autre moyen de me montrer le contrôle qu’a le gang sur moi. Je me sens complètement impuissante mais aussi complètement soumise. C’est un cocktail qui ne m’excite que plus.
Finalement la porte arrière s’ouvre et Chico sort, un cornet de frites à la main. Il se moque de moi quand il me voit agenouillée.
– Ben voyons ce que nous avons ici! Une cliente qui attend son repas. Que fais-tu ici Pute de Gang?
Servile, je réponds consciencieusement :
– Votre Pute de Gang est là pour vous servir Monsieur. Elle sera heureuse de vous sucer la bite monsieur.
Pour souligner mes propos, j’ouvre grand la bouche pour symboliser la façon dont je lui offre un accès libre à mes trous. Il me tend le cornet de frites et me dit de le tenir pour lui. Je me sens si bête, à genoux par terre, tenant un cornet de frites dans les mains
– Garde la bouche ouverte et sors ta langue petite pute! M’ordonne l’homme.
Immédiatement j’obéis et je sors ma langue aussi loin que possible. Je suis à genoux sur du béton sale, dans une posture de soumise. Et avec ma langue pendante je dois vraiment avoir l’air idiote.
Les mains libres, Chico tire lentement sur le bandana pour complètement exposer mes seins. Je n’ose pas bouger. Ce gars ressemble à un gangster brutal et endurci qui a dû passer du temps en prison. Contrairement à Daniel il n’a rien de plaisant. Il est bourru et autoritaire, ce qui m’intimide. Mon Dieu il m’effraie vraiment pour parler franchement.
– Est-ce qu’il te plaise mes gros melons bien murs? Dis-je pour essayer de faire baisser la tension en utilisant les mots cris qu’avaient utilisé mes collègues de bureau.
CLAC!
– AIEEEE! Crié-je après que Chico m’ait violemment giflé le visage, brûlant ma joue droite.
– Est-ce que je t’ai permis de rentrer ta langue sale pute? M’engueule-t-il.
Et mince! Dans mon empressement à séduire ce gars, j’avais complètement oublié ses instructions et j’avais rentré ma langue pour pouvoir parler. A la hâte j’ouvre de nouveau ma bouche en grand et je sors ma langue.
Chico hoche la tête de satisfaction et tire un paquet de cigarettes de son pantalon. Comme s’il dispose de tout son temps, il commence à fumer une clope avec délectation. S’appuyant sur la porte arrière, il me laisse agenouillée et entourée d’ordure comme sa soumise. A chaque seconde qui passe dans cette position dégradante, je me sens plus stupide et honteuse.
En regardant l’homme fumer, je réalise la lubricité de ma posture. Et comme ma langue est tirée, ma bouche commence à se remplir lentement de salive. Comme je n’ose pas rentrer ma langue, je ne peux pas avaler non plus. Tout ce que je peux faire est d’attendre que ma bave sorte de ma bouche.
Et je me rends compte, quand je vois ma salive goutter sur ma grosse poitrine, que c’est sûrement ce qu’attendait Chico. Je suis à genoux par terre et je bave pour lui! Quel spectacle dépravé!
Comme ce qu’il veut est un ordre pour moi, je laisse faire. Laissons le s’amuser! Laissons le rigoler de sa stupide Pute de Gang agenouillée comme un chiot. Je suis ici en tant qu’animal de compagnie de Daniel et il veut que je plaise à son compagnon de gang de toutes les façons qu’il le demandera.
Quand Chico a fini sa cigarette, il la jette et vient près de moi. Il attrape mes gros seins ronds par-dessous. Il les soulève un par un comme s’il les pèse. Puis il commence à pétrir ma chair. Il serre mes nichons de plus en plus fort et les martyrise férocement.
– Mmmmmm… Mmmmmm…
Je ne peux pas m’empêcher de grogner un peu de douleur.
Il me semble que cet homme vicieux teste si je vais remettre ma langue dans ma bouche. Il réussit presque en me pinçant les tétons. Je veux hurler mais je me concentre pour garder la bouche ouverte, langue tirée. Je continue à baver pour son plus grand amusement. Calmement, ce sadique continue de pincer et tirer mes pauvres mamelons. Ceux-ci durcissent comme de la pierre sous le traitement. Je sens ma salive s’écouler du coin de ma bouche. Elle dégouline et atterrit sur mon décolleté, puis elle coule le long de mes seins en ruisseau poisseux.
Et ça empire! Plus je garde ma langue tirée, plus ma production de salive augmente. Finalement le flot semble s’être multiplié et coule sur ma poitrine. C’est vraiment dégueulasse.
Ça coule tellement que Chico s’amuse à tirer mes tétons sur la droite puis sur la gauche. De cette façon il dirige le flot de bave jusqu’à ce que mes nichons soient totalement couvert la substance. Ma poitrine est vraiment sale maintenant.
Finalement Chico me dit :
– je suis « LGZ » depuis le début tu sais. J’ai aidé à monter ce gang à partir de rien et j’ai passé des années à le garder en place avec mes potes.
Puis il s’adresse directement à moi :
– Alors dis-moi! Qu’est-ce que je suis supposé faire avec de la viande fraîche mais âgée d’une nouvelle Pute de gang. Qu’est-ce que tu peux m’offrir qu’une jeune ne peut pas?
J’essaie de balbutier quelques mots :
– uhhhmmm zzzieeee vvvveee pllllllleee, léééézzzzéééé mooooi susséééé otrrerer queeeee.