Pour Sauver Son Mari 04
Ce récit est une histoire d’un dénommé Bedo, qui a été traduite il y a une dizaine d’année par Coulybaca qui ne l’a pas mise sur ce site.
NOTE IMPORTANTE : Ce récit est une fiction axée sur la déchéance et la dégradation d’une jeune femme. Je n’ai pas voulu modifier le récit initial ni la traduction. Toutefois cette épisode décrit des actes barbares et très violents pouvant heurter les âmes sensibles. Evitez donc de lire si vous pensez ne pas pouvoir supporter.
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Le lendemain matin, Vicky et sa sœur se rendent chez elle pour y prendre quelques vêtements et des affaires personnelles.
Une fois empaqueté ce dont elle a besoin, elle ferme fenêtres et portes à double tour et jette un dernier coup d’œil dans le salon. Quelques heures plus tôt elle se faisait sauvagement agresser dans cette pièce. Elle se dirige vers la porte lorsque quelque chose attire son regard : un cassette vidéo. Par erreur, ils avaient oublié une cassette vidéo. Elle s’en empare prestement et la fourre dans son sac à main.
Ce même jour, le gros sergent est assis à son bureau, il prépare une soirée vidéo pour les détenus. il invite les gardes et les habitués. Lorsqu’ils violent et filment une femme de détenu, celui-ci peut voir le film dès le lendemain c’est simple comme bonjour.
Ils sont 19 spectateurs, 18 habitués et un nouveau : Sanderson. Sa femme est la vedette de la vidéo. C’est assurément la plus jolie femme qu’ils aient filmée jusqu’ici. Tous les hommes qui ont vu des photos d’elle nue avaient payé leur place pour regarder la cassette.
Bien qu’il ait violé la plupart des femmes des spectateurs présents, c’est la première soirée vidéo à laquelle assiste Boone. Il a payé une grosse somme pour sauter cette gonzesse et il veut voir le film qu’ils ont concocté. Il veut revoir Vicky nue. Après tout c’est la femme la plus belle et la plus sexy que ces hommes ont aperçue depuis longtemps.
C’est assez surpris que je gagne la salle de vidéo, je n’ai aucune idée des raisons de cette invitation. La pièce contient quelques gardes et beaucoup de détenus. Tous les regards sont braqués sur moi. Ils chuchotent et rient, se moquant visiblement de moi.
Boone m’appelle. Je m’assois à côté de lui. Quelques spectateurs se masturbent ostensiblement, ce qui accroit encore ma nervosité, et je suis prêt à me sauver, dans la crainte de me faire partouzer.
Le gros sergent arrive et il prend la parole :
– Salut les gars, cette soirée est spéciale, vous allez vous régaler. Je suis certain que vous avez tous vus des photos de Vicky, la ravissante femme de Sanderson. Très bien. Nous lui avons fait une petite visite hier soir, on s’est bien amusé. On a filmé cette bonne séance de baise et c’est ce que nous allons regarder ce soir.
Mon cœur s’emballe à ces mots. Ils ont violenté ma femme dans notre maison, et ils se préparent à projeter la vidéo qu’ils en ont tiré. Je n’ai aucune idée de son contenu mais ce que je vis me choqua, me rendit furieux et m’excita tout à la fois.
Le gros porc lance la vidéo sur la télé grand écran. Ma ravissante jeune femme normalement vêtue apparait. En introduction elle répond à un questionnaire, en introduction :
– Quelles sont tes mensurations?
– 95, 75, 95
– Beaux nichons ma fois, à quel âge t’es-tu fais dépuceler?
– 15 ans.
– Qui t’as dépucelée?
– …
– Je t’ai demandé : qui t’as dépucelée?
– Mon mari.
– As-tu déjà baisé avec deux hommes en même temps?
– Pas avant cette semaine.
La salle éclate de rire à ces mots.
– T’es-tu déjà faite baiser par un animal?
– Non.
– Le ferais-tu si on te l’ordonnait?
– Non.
– Nous verrons bien chérie. Commente l’homme avec un sourire démoniaque.
– Aimes-tu te faire baiser?
– Oui. Par mon mari. Pas par vous salauds!
De nouveau, la salle résonne de rires bruyants.
– Avales-tu le sperme?
– Normalement oui.
– Aimes-tu te faire enculer?
– Ce n’est pas ce que je préfère.
Encore une fois les spectateurs hennissent leur joie.
– C’est ton époux qui t’a dépucelé, est-ce aussi lui le premier à t’avoir enculée?
– Oui c’était lui.
L’interview, de plus en plus intime, dure quelques minutes. Vicky explique sereinement qu’elle aimerait se faire prendre en sandwich tandis qu’elle sucerait un troisième homme. Je suis à la fois surpris et excité. Malgré nos années de mariage, Vicky est bien trop timide pour discuter de sexe de façon si détaillée avec moi et voilà qu’elle s’étale avec complaisance tandis qu’on la filme. Elle semble si différente de la Vicky que je connais, une lueur égrillarde dans son œil renforce cette impression de complaisance.
Le gros porc lui demande alors de se déshabiller. Elle veut savoir si elle doit juste se déshabiller ou faire un strip-tease. Il réplique que c’est à elle de choisir. Elle me surprend en déclarant :
– Je ferai ce que vous voudrez! Demandez et je m’exécute!
Elle commence alors à danser sur une musique Pendik travesti qu’elle seule entend, puis elle enleve son corsage, s’exhibant en soutien-gorge. Les spectateurs se livrent à quelques commentaires salaces. Lorsqu’elle dégrafe son soutien-gorge pour le laisser choir au sol, ils avalent tous leur salive. Lorsqu’elle se dépouille de son jean, dansant juste vêtue de son string, les spectateurs pètent les plombs. Mais les cris redoublent lorsqu’elle retire son cache sexe, penchée en avant, jambes largement écartées.
Vicky affronte sereinement la caméra. Les spectateurs grommellent sourdement à la vue de sa paire de nibards et de son pubis d’or. La caméra détaille ses courbes voluptueuses.
Puis, à la demande de Jimmy et du gros porc, elle prend des poses excitantes. Jambes grandes écartées, le gros porc lui demande d’ouvrir sa foufoune de ses doigts, de tendre ses nichons, de les laisser tomber. A cette vue l’assistance pète à nouveau les plombs. Ils sont si gros, si fermes. Tous les spectateurs en frémissent d’envie, exactement comme moi lorsque nous faisons l’amour.
Puis quelques plans d’elle utilisant des godes et des plugs défilent. Je ne l’avais jamais vue utiliser ces jouets, cependant elle semble apprécier qu’on lui insère des godes ou des plugs dans le cul.
Puis vient la scène de la cravate de notaire. Ils applaudissent tous cette scène des plus grivoises. Il faut dire que la vue de la pine de Jimmy coulissant entre ses globes mammaires est des plus excitante.
Lorsqu’il éjacule sur son visage puis étale le sperme sur ses joues, son menton, ses lèvres, ils rient souhaitant faire de même. Lorsqu’il lui fait lécher les filets de sperme marbrant ses seins, je désire follement la posséder à cet instant. Elle suce longuement ses nichons avant qu’on ne lui dise de cesser.
Puis elle fait une pipe au gros porc, tout le monde rit et applaudit. Lorsqu’il jouit et qu’elle avale sa semence si obligeamment, la salle sombre dans le délire. Je ne l’ai jamais vue aussi excitante, aussi sexy. Au spectacle de cette pipe menée de main de maître bien des spectateurs jouissent dans leurs pantalons ou bien par terre.
La salle a retrouvé un certain calme lorsqu’ils commencent la scène de fist-fucking. Voir ce gros porc lui fourrer sa grosse main dans le vagin me choque profondément. Les hommes giclent à nouveau lorsqu’ils le voient vriller sa main dans la chatte de Vicky. Je me désole en voyant la souffrance s’afficher sur son visage, j’aurais voulu pouvoir occire ces bâtards. Je me jure de les tuer dans d’horribles souffrances.
Puis Jimmy l’encule alors que le gros homme at toujours sa main fourrée dans son vagin. On n’entend plus un bruit dans la salle, ils cessent même de se masturber fascinés par la scène qui se déroule sur l’écran.
Ma haine grandit à chaque coup de boutoir dans le ventre de ma femme, j’aurai voulu les tuer à l’instant, sur leurs sièges. C’est alors que Boone se penche vers moi et me dit :
– Ne fais pas ça l’ami, t’es encore en vie et ils la baiseront quoi que tu fasses, que tu veuilles bien ou que tu ne le veuilles pas. En dehors de cela, j’aimerai bien m’la faire à nouveau moi aussi!
La cassette se termine enfin. Tout le monde reste assis. Le gros sergent donne l’ordre aux gardes de raccompagner les détenus dans leurs cellules.
Je passe la nuit les yeux grands ouverts, allongé sur mon lit, révolté par ce que j’ai vu, et les souffrances que visiblement ma gentille petite femme a enduré.
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Vicky ne me visite ce week-end, ils sont tous désappointés. Elle ne revient que deux semaines plus tard. Elle porte une robe d’été, elle est ravissante. Elle est allée chez le coiffeur et semble reposée. Elle s’assoit seule dans la salle des visites aux cotés de détenus discutant avec leurs femmes. Ils viennent me chercher. Je me renda au parloir et m’assoit à ses côtés.
– Bonjour chéri t’ai-je manqué? Me demande-t-elle m’embrassant tendrement à pleine bouche.
Elle se redresse, déboutonne mon pantalon, sort ma bite et entame une branlette à deux mains. La salle est pleine, mais cela ne l’arrête pas. Elle remonte sa jupe, les hommes assis à proximité voient tous qu’elle ne porte pas de culotte.
Je suis curieux de savoir jusqu’où elle ira dans sa volonté de me donner du plaisir, aussi je pense que je dois la tester. Alors que je me demande quoi faire, Boone, accompagné par quelques copains entre et s’assoit de l’autre bout de la pièce.
Je dis à Vicky de se mettre à genoux pour me faire sa pipe. Je pensais qu’elle se glisserait sous la table, comme les autres épouses de détenues, mais je suis fort surpris de la voir s’agenouiller à côté de la table, à découvert pour calmement se remettre à me sucer.
Nos voisins nous regardent ébahis. Quelques femmes sont en colère de la voir agir aussi ouvertement, d’autres se montrent curieuses et s’excitent à la vue de cette jolie blonde faisant une pipe à son mari au su et au vu de tous.
J’aime ça! J’aime la Pendik travestileri voir aussi belle et sensuelle! Je l’aime de me sucer à la vue de tous. Je suis très heureux de la voir faire ce que je veux!
J’essaie de me retenir, mais je n’y arrive pas. Je gicle presque immédiatement dans sa bouche. Elle savoure toutes mes giclées, puis, se relevant, elle me murmure à l’oreille :
– On les tient par les couilles! Ils ont laissé traîner une vidéo à la maison, je l’ai amenée à un avocat.
– Qu’entends-tu par « ils ont oublié une vidéo à la maison »? Quelle vidéo? J’ai vu celle qu’ils t’ont fait faire! Lui dis-je toujours raide, récupérant lentement de la pipe qu’elle vient de me faire.
– Une ancienne vidéo! Tu vois cette fille avec le mexicain. Ils ont filmé son viol. Dit-elle en désignant une femme de l’autre côté de la pièce.
Je jette un œil curieux et vois une mignonne petite mexicaine me souriant en me faisant un signe de la main. Elle poursuit :
– L’avocat a rapidement identifié cette jeune femme et pas plus tard que ce matin, nous nous sommes rendus chez le procureur, il identifia quatre autres femmes sur la bande stéréo, ce ne fut pas très difficile.
Ebahi, je lui dis :
– Mais c’est fou! Sois sûr que dès que je sortirai d’ici Ils tenteront de me tuer. En tout cas ce sera fini. Si tout est décidé, pourquoi me demandes-tu mon avis? Poursuis-je avec une certaine impatience.
– Parce que je t’appartiens entièrement désormais, je ferai ce que tu voudras, quand tu voudras.
– Tu penses vraiment ce que tu dis? M’esclaffé-je incrédule, et j’ajoute :
– Boone me tuera si le procureur s’en mêle!
– Ne te tracasse pas pour Boone. On va lui proposer un bon marché s’il témoigne contre les gardes. De toute façon il m’aime et il fera ce que je lui demanderai. Me dit-elle confidentiellement, et elle poursuit :
– Appelle-le!
– Boone! Vicky voudrait te parler! L’appelé je en lui faisant signe de la main.
Le colosse s’assoit près de Vicky et lui pose le bras sur l’épaule, empaumant de la main un de ses seins.
– Arrête! Dit-elle en éclatant de rire et en enlevant sa main de sa poitrine.
– Sois gentil, Il est arrivé un paquet de choses aujourd’hui. Cela te concerne. Et le temps qu’il te reste à tirer. Mon avocat m’a dit qu’il pouvait obtenir une forte réduction de peine si tu nous aides. Cela t’intéresse-t-il?
Le colosse sourit et répond :
– Tout ce qui me fera sortir d’ici plus rapidement m’intéresse forcément. Sérieusement il s’agit de quoi?
– A 14 heures, je dois rencontrer le Procureur pour lui parler du viol que j’ai subi. Nous disposons d’assez de preuves pour mettre ces gardes à l’ombre pour longtemps, mais on a besoin de ton aide. La vidéo concerne plusieurs femmes de détenus que les gardes font chanter mais on aurait besoin d’un témoin emprisonné qui corroborerait nos dires. Mon avocat prétend qu’il peut obtenir ta libération anticipée en échange de ton témoignage. Cela ne dépend donc que de toi. Il m’a dit qu’il te restait 18 mois à tirer.
Boone soupire lourdement :
– Hmmmmmm… Témoignez et vous serez libéré! Je n’ai encore jamais balancé personne. Mais passer encore 18 mois dans ce trou à rats.
Et se tournant vers Vicky, il convient :
– C’est d’accord. Mais je suis aussi impliqué dans ces viols. J’ai payé ce gros porc pour baiser avec ces femmes. Que me feront-ils pour ces viols?
– C’est prévu au marché qu’on te propose. Si tu témoignes, toutes les charges contre toi seront abandonnées. Alors qu’en dis-tu?
Boone se leve et se dirige vers la fontaine. Il se sert un verre d’eau et revient s’asseoir au côté de Vicky. Il posa à nouveau son bras sur son épaule et empaume un de ses seins.
– C’est d’accord, Je marche avec vous. Mais je vais te demander quelque chose. J’ai vu ce que tu as fait à ton mari il y a à peine 10 minutes. Fais-moi aussi une pipe pour me remercier.
Vicky sourit, me regarde et lui dit :
– T’es bien sûr que tu veux que je te suce maintenant? Tu vas sortir dans quelques semaines, on pourra alors prendre tout notre temps.
– Pourquoi joues-tu de cette façon avec mes nerfs chérie? Dit-il souriant à pleine dents.
– Fais-moi une pipe tout de suite, de toute manière tu pourras m’en faire une autre plus tard!
Et me jetant un coup d’œil il ajoute :
– Allez mon pote, aide moi sur ce coup-là.
Je regarde Vicky et opine de la tête. Immédiatement elle descend de son siège et s’installe entre les cuisses du colosse noir. Dégrafant sa braguette, elle sort la monstruosité à demi érigée et l’embouche séance tenante. Sa bouche est distendue aux limites de la dislocation, mais elle parvient à l’enserrer de ses lèvres actives. Puis, relevant la tête elle regarde Boone dans les yeux et dit :
– Tu me jures de protéger mon mari?
Boone hoche la tête en signe d’acquiescement et elle replonge sur sa bite. Après quelques difficultés, elle ne tarde pas à prendre son rythme de croisière. Nos Travesti pendik voisins regardent incrédule cette jeune femme blanche sucer un noir sans se soucier de l’assistance.
Cela ne prend pas très longtemps, et le colosse noir lui balance gerbe sa semence au fin fond de la gorge. Elle avale les gerbes chaudes avec un plaisir évident, puis elle lui toilette sa bite avant de l’embrasser une dernière fois sur le méat et de la ranger dans son pantalon.
– Merci chérie, c’était très bon. Et maintenant?
– Quoi maintenant? Que veux-tu de plus? Demande-t-elle confuse.
– Bien sûr que je veux plus! Mais pas maintenant! Je voulais dire que se passe-t-il maintenant?
– J’en saurai plus vers 15 heures, je vous ferai alors savoir. L’un d’entre vous peut-il m’appeler vers 17 heures?
Boone opine et elle continue :
– J’y vais maintenant, on est bien d’accord mes chéris? Finit-elle me souriant tendrement.
– On est d’accord ma chérie. Prends garde à toi. Répondis je, puis je quitte la salle accompagné de Boone.
Le gros sergent l’accoste dans le hall de sortie. Il lui sourit. Elle veut se libérer, mais il la tient fermement.
– Je dois y aller. Parvient-elle à balbutier
– Je n’ai pas le temps de faire quoi que ce soit en ce moment. Venez avec vos amis ce soir, je ferai tout ce que vous voudrez.
A contrecœur, il la laisse partir. Il sait que de toute façon ce sera bien mieux ce soir, ils pourront prendre leur temps. Il regarde rouler son petit cul ferme tandis qu’elle descend le vestibule. Il bande déjà en évoquant l’image de son sphincter anal enserrant d’une main de fer sa grosse bite noire. Il pense vicieusement :
– Ce soir, après m’être servi de sa chatte, je lui péterai la rondelle!
Vicky rejoint le parking où sa sœur l’attend. Elles vont se restaurer dans un bar. Elles discutent des événements à venir et de la revanche que ces femmes violées tireraient de leurs violeurs.
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A exactement 14 heures moins quart, Vicky se trouve avec son avocat dans la salle d’attente du bureau du procureur. A 14 heures juste on les introduit dans le bureau où ils attendent quelques minutes le procureur. La porte du fond s’ouvre bientôt et Elisabeth Durand, le procureur et son assistant entrent dans la pièce. Souriante, elle pose son attaché case sur le bureau en précisant :
– On dispose de 30 minutes. Qu’est-ce que cette histoire de gardes contraignant des femmes de détenues à avoir des rapports sexuels avec eux et à se prostituer avec d’autres détenus?
30 minutes plus tard, ils ont tout raconté à un procureur horrifié. Lors du visionnage de la bande vidéo, elle ordonne à son assistant de démarrer une procédure. Elle regarde la cassette du début à la fin.
Elle y voit 6 femmes, de différentes ethnies et de différents âges, obligées de se livrer à des rapports sexuels sous la contrainte. Elle voit ces femmes se faire humilier et violer par les deux mêmes hommes.
– On va coincer ces salauds! Qui sont ces femmes?
– Ce ne sera pas aussi simple que cela. Intervient Vicky qui poursuit :
– Il y a 3 ou 4 autres gardes et peut-être même plus impliqués dans ces viols! On ne les connaît pas tous mais ils seront tous chez moi ce soir. Pour collecter le prix de leur bonne volonté, c’est du moins ce qu’ils m’ont dit. Et si l’on refuse, ils battent nos maris.
– Ce soir? Demande le procureur.
– Pourquoi n’établirions-nous pas une souricière pour les prendre en flagrant délit?
– C’est d’accord, mais rappelez-vous, vous nous avez promis d’aider Boone. Il a protégé mon mari. Intervient à nouveau Vicky qui poursuit :
– Je ne sais pas à quelle heure ils vont se pointer chez moi ce soir, mais j’ai demandé au sergent d’amener tous ses amis. Est-ce bien encore un viol puisque c’est moi qui leur ai dit de venir?
– Ne vous inquiétez pas, nous ferons comme si.
Et se tournant vers son assistant elle ajoute :
– Je veux un secret total sur tout ceci, pas de presse. Appelez le capitaine Glendenning et mettez-le dans la confidence!
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Assise dans son salon, Vicky plie nerveusement des vêtements. Elle sait que beaucoup de choses repose sur elle et de sa façon d’agir cette nuit. Il leur faut la preuve qu’il s’agit bien de viols sous la contrainte. Elle doit les amener à se dévoiler ce soir, il faut qu’on la voie se faire violenter. Il n’est que 20 heures et personne n’est encore là.
Les caméras sont prêtes, les micros ouverts, la maison en est largement équipée, la police est prête pour les arrestations. Elle sait que ces hommes la verraient sur leurs écrans de contrôle et cela l’excite.
On frappe à la porte. Vicky se lève et ouvre. Ils sont sept, d’âges, de races, et de statures différentes. Ils entrent amenant leurs canettes de bières et des pizzas. Il se sont préparés pour une partouze dont Vicky est l’objet principal.
Le gros sergent comment :
– C’est bon les gars. On est arrivé. Fous toi à poil et écarte les cuisses salope!
– Attendez. Vais-je devoir me faire baiser par tous ces hommes? Je vous en prie Non. Vous ne pouvez pas m’obliger à faire ça! Je vous en prie. Nonnnn! Vous allez encore me déchirer, j’ai dû me faire recoudre aux urgences la dernière fois!