Genel

Mutinerie au Congo, Chapitre 06

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Babes

Un réveil colonial

Chez les LeBlanc, on savoure la première matinée de ce lendemain du jour où tout s’est embrasé.

Dans la chambre d’Anne, le major Benoît-Jules Ilungo est en train de violer la belle petite Lucie DeVos, fiancée à un garçon blanc comme il se doit, mais ici obligée d’être dominée par ce nègre nu qui fait deux fois son âge et deux fois son poids.

Lucie souffre l’agonie dans son bas-ventre, mais se sent étrangement fascinée par les épaules musclées d’ébène de cet officier nouvellement promu qui l’embroche avec la fougue d’un gladiateur.

Il prend son plaisir allongé sur elle, mais soutenu par ses bras tendus pour mieux contempler cette adolescente qu’il a si souvent vue habillée correctement, avec gants blancs, blouse et jupe large couvrant les genoux, mais laissant voir le doux galbe de ses mollets et donnant de folles idées quant à l’allure de ses pieds menus qu’on devine dans les chaussures à selle blanches et noires portées par la jeune fille. Le nègre n’en revient toujours pas d’avoir pu déshabiller et violer les filles blanches!

Pris au piège de son acte de pénétration qui la secoue comme une chiffe molle, il admire les seins animés de Lucie DeVos, Lucie dont les jolis yeux bleus sont écarquillés tous feux éteints pendant que son petit corps va et vient, de concert avec le pilonnage en règle servi par le major nu pendant que d’autres mutins lui tiennent et flattent les bras et les jambes, sans oublier ses cheveux si soyeux.

La petite Lucie aux cheveux châtains mi-longs est ainsi violée matinalement par des nègres qui adorent la lumière du jour sur le satiné de ses seins aux mamelons bien pâles. Ils ont tout vu! Ils ont pris tout ce qui aurait dû revenir de droit à son fiancé le soir des noces.

Chez les mutins, on n’en revient toujours pas! Toutes les Blanches ont été systématiquement violées à répétition au milieu de bruyantes réunions, dès que le régiment s’est révolté et a mis ses officiers blancs au cachot.

Sous les coups de boutoir du major sous-officier hier, Lucie halète comme une lapine en chaleur, incapable d’empêcher son corps de jouir, tandis qu’Anne LeBlanc est prise à quatre pattes, au sol, par l’adjudant joufflu, qui en redemande.

La chambre de jeune fille résonne des grognements et râles de ceux qui montent « les petites salopes blanches » en champions africains.

« Aaahhh, la vache, AAaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhh salope! » s’écrie le major Benoît-Jules Ilungo en éjaculant au plus profond de Lucie, qui pleure sa vie gâchée tandis que son propre corps viole son âme en la faisant jouir encore un peu.

La tête d’Anne, noire de ses cheveux qui se dandinent comme de l’encre échevelée, est toute secouée au même rythme que son cul, lequel sert de doux pare-chocs contre la fureur forcenée de l’adjudant qui grogne sans vergogne en savourant les fruits de la révolte.

Violer une adolescente blanche en sachant son père au cachot, c’est le pied! Ah, que c’est bon de prendre Anne LeBlanc en levrette, par terre dans sa chambre! C’est le vagin d’une adolescente belge! Pour de vrai!

« Ah, oui! La petite Anne! Ahh… Ahhh… Ahh, ça, c’est du vrai bon cul! Allez la petite, on va te faire l’Afrique! Nnrrr, nrrrr, nrrrh… Aaahrr… Trop bon! Pas vrai! Aaaahh-aaaaaaaahhhhrrr!!! » grogne l’adjudant, qui poursuit le barrage de coups de bélier jusqu’ à la très prévisible conclusion finale.

Anne LeBlanc pleure, jouit un peu et croit mourir de honte en recevant cet hommage tout en chaleur; il lui balance un gros lait frappé à la vanille congolaise, assez voisine de la sève du baobab. Il ne trouve pas de mots suffisants pour décrire à quel point c’est bon de fourrer une petite Blanche qui ressemble à l’actrice Ann Blyth dans les années quarante.

Pendant qu’un caporal prend le relais et se met à emboutir la fille de la maison, Lucie sa meilleure amie continue de se faire défoncer par la tournante de nègres en manque de sommeil. Ses seins donnent un joli spectacle en mouvements saccadés que suivent ses halètements. Tout soldat à proximité est libre de renouveler le plaisir de lui pétrir les seins.

Plus d’un soldat revit en esprit cet instant surréel où Anne, ou Lucie, a été initialement attrapée et déshabillée; ce moment où pour la première fois leurs yeux de guerriers kongos se sont posés sur les seins nus de la jeune fille hurlant sa panique à tue-tête.

C’était la veille en après-midi. C’est déjà loin.

À présent, chacun tente de recréer la magie du premier viol collectif, sans y parvenir tout à fait.

Le gâteau est rond, vierge, quand il sort du four; sa surface immaculée est brisée à la première part prise; la suite devient vite gloutonnerie et plaisir affadi par la succession des ouailles avides, repus, mais encore avides dans cette quête insensée pour une pureté à jamais souillée. Résultat : Anne et Lucie sont violées, violées, encore et encore. Elles reçoivent du crémage salé d’opprobre.

Un soldat trouve un disque de vinyle et installe le « 45 tours » sur la petite table tournante. La chambre d’Anne s’emplit trabzon escort de la voix ténor de Tommy Edwards, qui chante « Love Is All We Need » accompagné de choristes à la voix de rêve, pendant que les deux Belges poussent leurs gémissements et leurs halètements d’étudiantes déflorées sous les âpres grognements des nègres qui savourent leur butin de guerre.

Le disque joue cette chanson numéro un aux États-Unis en octobre 58…

« Tell me we’ll always have each other (voix des choristes : woa, a! woa a!…) »

« ’cause that’s all I ever want to know… (woa, a! woa a!…) »

« Tell me you’ll always be my lover,

« ’cause I’ll, always love you so! (pa-pa pa pa pa pa paa…) »

« Love is all we need so won’t you hold me to your heart and… (Looove me! Loooove me!) »

« All we ever, ever needed is… (Love me! Love me! Be my love…) »

La troupe s’amuse au son de la musique américaine…

« Ah oui! Ah oui! Ah oui! On l’a eue! On l’a eue! Allez! Hue! Hue! Hue… Ah, oui! La petite Belge… Ahhh… Oui! La salop… pphhhh ggggggjjnnhhhhh! »

« Tiens! Tiens! Tiens! Prends ma mélasse! Aahhh… Hhhggh nnnnnnnnn… »

« Ha! Ha! Ha! Ha! Elles sont passées par les armes, les deux petites Bruxelloises! »

« Tu l’as dit bouffi! »

« Va falloir que j’aille à la confesse… »

« Allez, le gros Jean, c’est à toi! Arrête de dire des âneries et montre-lui comment on fait l’amour, à cette fille de commandant! »

Le gros Jean promène ses mains épaisses sur les fesses lisses d’Anne, qui a l’air lilliputienne près de lui, forcée qu’elle est de rester à quatre pattes devant cet impressionnant colosse qui pèse dans les 130 kilos. Anne a le souffle coupé en le voyant qui s’apprête à lui livrer son gourdin boudiné, une sorte de boyau presque aussi noir que la réglisse.

Anne s’est déjà masturbée en pensant au gros Jean, bien avant la mutinerie. Un jour qu’elle marchait en tenue du dimanche, gantée de blanc, elle le croisa de loin et le remarqua qui l’observait à la dérobée. C’était l’année d’avant. 1959. Elle avait trouvé ce contact visuel repoussant, impensable sur le coup, mais le soir venu, le gros Jean était revenu dans ses pensées… Anne s’était mise au jeu solitaire en s’imaginant qu’il l’embrochait et prenait son plaisir en elle, en pleine rue et sous le soleil!

Quelque chose de secret en elle souhaite qu’ils la traînent dehors de la maison pour la violer publiquement au grand jour, devant son père, qui ensuite serait forcé de la violer à son tour.

Anne ne parvient pas à réprimer un gémissement de plaisir quand le gros Jean entre en elle, la remplissant bien serré en poussant un puissant râle de sanglier content.

Puis, le gros nègre la pilonne de sa réglisse dure en s’abandonnant au coït forcené. Il râle et grogne en lui administrant une salve de coups de boutoir, sans cesse renouvelée, qui entraîne la petite Anne; tout son corps au teint pur et ses longs cheveux sont secoués dans un chaos de mouvements frénétiques, de plus en plus urgents. Ses cheveux noirs forment des vagues rageuses sur son dos blanc.

Secouée, heurtée à répétition, la lycéenne est tenue aux hanches par les mains du nègre en rut, qui savoure chaque seconde de son fantasme enfin réalisé.

Les pieds d’Anne sont de petits chefs-d’œuvre qui donnent contre les gros mollets du nègre, lequel savoure le viol à genoux sur les tuiles cirées. Tous deux sont unis dans le coït et la douleur aux genoux.

Anne râle quand les coups du colosse l’obligent à exploser de l’intérieur. Le plaisir retentit aussi en Lucie DeVos, qui reçoit une autre décharge, puis accueille son troisième ou quatrième client de la journée; journée tragique.

Quand gros Jean jouit en Anne, son cri primal emplit la maison des LeBlanc; on l’entend jusqu’au deuxième voisin…

« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH!!! AAAAAAAHHH LA SALOPE BLANCHE!!! On les viole toutes! Les petites salopes! Aaahhhh! Elles ont le cul bien blanc, aaahhhh c’est trop bon!!! »

Anne reçoit la forte coulée. L’humiliation la transforme en bacchante qui veut mourir, mais préfère encore s’abandonner au plaisir secret sous le gros tas de honte brune que le destin lui a donné en partage.

« Ha! Ha! Ha! Bravo, Jean! Tu l’as bien embrochée, la petite pute belge! À mon tour maintenant! Je suis encore dur comme un taureau! »

Anne sent la massue de chaleur, et se fait de nouveau secouer sur les mains, sur les genoux qui la font souffrir le martyre contre ce plancher de tuiles civilisées, et c’est bientôt suivi d’un gros paquet d’épaisseur crémeuse ponctué du râle primal poussé par le mutin. La fille comme il faut est forcée de s’avouer à elle-même que son corps aime recevoir le sperme des soldats censés être commandés par son père, hélas au cachot.

Ça continue de plus belle. Les mutins commencent la journée en force et prennent les jeunes Belges pour leur « faire l’Afrique ». La même scène se produit dans toutes les maisons du quartier blanc. Juliette ignore le détail de ce que sa petite tunceli escort sœur subit, mais elle sait qu’Anne s’est fait violer et continue de subir l’opprobre.

Les seins de Juliette, censés être revêtus d’une blouse bourgeoise, sont au naturel et bien couverts de salive congolaise. Elle sent l’air lui jouer directement sur les mamelons.

Ces seins adorés par la troupe sont encore et toujours secoués par de solides coups de bites tandis que ses vêtements déchirés jonchent le sol de la cuisine où la veille elle fut violée en grosse réunion sur la table. La jeune fille revit ce calvaire dans son esprit torturé pendant qu’un jeune caporal qu’elle connaît bien l’embrasse, lui déclare son amour secret en la punissant à grands coups de gourdin qu’il enfonce en leitmotiv dans sa chatte irritée par les viols trop fréquents.

Martine est quant à elle fourrée en levrette sur son lit par d’autres mutins adorant le joli petit cul de la prof de musique. Malgré l’orgie de la veille, leurs mains, leurs yeux, leurs bouches sombres demeurent étonnés d’y avoir droit.

Virginie subit son tour de gloire sur la table de la cuisine; on la prend jambes en l’air, et ses jolis pieds de prof de français belge alimentent les érections sauvages de la troupe, et tous prennent un indicible plaisir à l’en faire bénéficier.

« On dirait que ça râle fort quand ça jouit, une prof de français! »

« Est-ce qu’elle jouirait plus fort si elle enseignait le latin? Virginia, meretrix maxima gallica! Virginie, la plus grande pute de luxe gauloise! Ha! Ha! Ha! Ha! »

« Allez, demande-nous de te faire jouir! Dis-le! Sit vobis copia nostri! Dis-le! Dis-le! »

Dans la confusion de son viol, Virginie sent ses seins qui battent la mesure, pétris sans cesse par les nègres. Elle est stupéfaite d’entendre deux mutins qui, tout Congolais qu’ils sont, connaissent le latin!

« Dis-le, dis-le-nous… Sit vobis copia nostri! Sit vobis copia nostri! » répète le lieutenant noir en goguette qui vient de trouver une bouteille de rhum.

Virginie sent une grande chaleur se répandre en elle. C’est un orage érotique qui sévit soudainement aux promontoires de sa poitrine, car sa bouche s’ouvre, vaincue par l’envie d’être salope confirmée en obéissant, et elle le dit soudain, haut et fort!

« Sit vobis, co, copia nos, nostri! Sit vobis copia nostri! Sit vobis copia nostri! Aaah aaahh Sit… vobis… co-pi-a… nos-tri! » (Que ce soit pour vous l’abondance de moi = Faites de moi tout ce que vous voulez!)

« Aaahh! Aaaahhh! Aaaaahh, ooh, elle est bonne, la prof de lycée belge, aaahh!!! Une belle bourrée!!! AAAaaaaaaaaahhh… » fait le sauvage mutin, qui meurt en elle.

Il lui tient les jambes en l’air, pliées de sorte que les pieds de la fille lui effleurent le visage tandis qu’il jouit à gros traits.

Un autre soldat le remplace, lui empoigne les cuisses et la pénètre tandis qu’elle sent tous ces regards de la Force publique sur le triangle poilu de sa chatte brune foncée.

« Sit vobis copia nostri! Sit vobis copia nostri! … » continue Virginie en s’abandonnant aux sévices des Congolais bien membrés, prise sur la table jonchée de farine, la tête presque à l’envers et les seins bien hauts sur sa poitrine cambrée.

La troupe la pilonne à loisir, forte de sa connaissance intime de la teinte de ses mamelons bruns pâles. Les seins secouées de la Blanche résument l’impensable que permet la mutinerie.

Dans la chambre de Virginie, Juliette est à présent forcée de s’agenouiller devant un nègre nu pendant que d’autres se pressent pour lui embrasser et lécher le cul. Un officier noir déplore que son père ne soit pas là pour voir le spectacle tandis que le nègre nu ordonne à Juliette d’ouvrir la bouche — et gare à elle s’il sent ses dents!

Il la sait effrayée. Il connaît Juliette et sait qu’elle est trop gentille pour faire du mal, même à son violeur. Il lui tient néanmoins la mâchoire très rudement, lui fait mal en lui saisissant la tête, et il la force à prendre sa verge profondément dans sa bouche, jusqu’au gosier.

Et là, il commence le rude va-et-vient. Il tient sa tête enserrée dans ses mains, et Juliette peut à peine respirer. Secouée comme un prunier à genoux, la Blanche au corps virginal sent la chaleur interdite de cette verge dans sa bouche, de toutes ces mains congolaises qui lui parcourent les fesses, de leurs langues qui lui mouillent la peau dans cette zone normalement bien à l’abri sous une jupe et une petite-culotte — deux fesses dévoilées, bien blanches à la douce peau de pêche qu’adore cette multitude de mains, et leurs bouches aux lèvres épaisses.

« Mon Dieu! pense Juliette, encore, mon Dieu! Je suis toute nue au milieu des soldats de Camp Hardy! »

Et elle jouit, pressant la langue contre l’épaisse verge du nègre, qui grogne à ce frétillement.

Il sort de sa bouche, se masturbe d’une main vigoureuse et pousse un grand râle tandis que son sperme sort en gros jets qui atterrissent sur les seins de Juliette, apportant un bonus chaud à l’adolescente uşak escort qui vibre tout entière sous l’empire de son orgasme colonial.

Un autre soldat sort sa bite juteuse, qui bientôt se dresse sous les soins de Juliette, à qui il vient d’ordonner de lui lécher la bite. Il admire cette langue de fille belge en train de lui caresser le sexe durcissant. La chaude salive de Juliette confirme la défaite des Blancs.

Puis, il renouvelle la fellation forcée tandis que le reste de la meute continue de boire la beauté et le satiné de Juliette — enfin dévoilée! — et tous sont pétris de contemplation devant le blanc immaculé de ses fesses, de ses jambes et ses pieds sensuels; leurs mains s’attardent partout sur elle et forcent son corps vers un nouvel incendie tropical.

Les mutins ne se lassent pas de la répétition de ces plaisirs, hier impensables pour eux.

On se relaie pour le plaisir d’éjaculer sur les seins de Juliette. Tel autre la fait se repositionner — il se masturbe et lui nappe les fesses de sa sauce fumante à la vanille africaine. Un autre encore la fait s’allonger jambes en l’air, chevilles jointes, et il crie son immense joie quand il éjacule sur ses pieds en se remémorant toutes ces fois où lui, simple nègre au garde-à-vous, il l’a vue marcher de son pas léger, chaussée de ses « penny loafers » à l’américaine qu’elle porte souvent sans chaussettes malgré les remontrances de son père.

Juliette est assourdie par ce cri et frémit tout entière sous cette chaleur qui lui nappe les pieds, et elle se sent étrangement aimée au milieu de cet enfer de souffrance insensée.

Le colonel Bobozo observe la scène, satisfait, son menton bien rond dans sa grosse main de gorille. Il a remis son pantalon d’uniforme et renoué sa ceinture. Bientôt, il donne l’ordre de laisser toutes les Blanches au repos. Elles seront gardées à vue, mais laissées tranquilles jusqu’à 17 heures.

Plus tard, la troupe négociera avec son colonel en faisant valoir que l’occasion de violer toutes les filles blanches est rarissime, et l’on finit par se mettre d’accord pour 15 heures 30, sans le dire aux filles. Elles en feront une sale tête, les petites putes!

***

Anne et Lucie ont eu le visage et les seins couverts de sperme par les mutins épuisés. À présent que l’ordre de garde à vue est arrivé, ils prennent grand plaisir à passer les jeunes filles sous la douche.

Ce sont des légions de mains qui frictionnent et savonnent les seins tout blancs d’Anne, puis ses fesses! Et elle pleure, pleure et appelle son papa pendant que les nègres s’attardent aux jambes, au dos, aux pieds, sans oublier sa chatte et sa toison noir de jais… C’est encore un peu sale, prétendent-ils. Anne a le corps bien lustré et poli, partout!

Lucie est ensuite douchée pareillement tandis qu’on habille Anne. Le major Ilungo choisit lui-même sa tenue : une blouse vert émeraude à petits pois blancs qui rehausse le noir de ses cheveux et le vert de ses yeux, avec une jupe marron foncé qu’il fera bon retrousser le moment venu.

Anne a été obligée de mettre des sous-vêtements. Ce sont les ordres du colonel! Bobozo a envie de la déshabiller comme il se doit; c’est un plaisir que le colonel se réserve. Anne doit aussi mettre de petites chaussettes trois-quarts et enfiler sa paire de chaussures à selle. Son fantasme de la dévêtir de sa tenue de lycéenne, Bobozo en meurt d’envie! Il est péniblement dur rien qu’à y penser!

Les mêmes exigences sont d’ailleurs formulées pour toutes les jeunes filles dans chaque maison du quartier blanc. Elles se rhabillent en gémissant et pleurant comme des madeleines, mais on leur ordonne de cesser les jérémiades, sous peine d’être sodomisées au fusil d’assaut!

Anne et Lucie sont ensuite autorisées à déjeuner, à présent habillées en lycéennes se prenant pour de petites Américaines. Béatrice a fait des crêpes et reçu de petits postillons d’huile brûlante sur ses seins nus, souvent attouchés par la meute insatiable. La plupart des mutins sont des bêtes dans l’enclos de leurs désirs charnels inassouvissables.

Le major, cruel et souriant, pose une condition au droit de manger : Anne et Lucie sont priées de s’embrasser et de se déclarer leur amour!

Anne est horrifiée! Lucie est soudain pleine de curiosité effrayée; elle a souvent eu secrètement envie de sa meilleure amie. Tout hébétée, elle regarde Anne, la contemple de ses yeux las; comme elle est belle, son amie!

C’est Lucie qui prend les devants et embrasse Anne tout doucement, sous les regards du major et des mutins qui lancent des quolibets d’approbation.

Sous le regard atterré de Béatrice, maman éplorée aux seins nus, Anne sent la langue de Lucie qui cajole la sienne tandis que Lucie la caresse doucement à la taille et au sein.

Anne est pétrifiée, bras pendants. Lucie lui pétrit très gentiment le sein à travers sa blouse à petits pois tout en continuant de l’embrasser.

« Je t’aime, Anne… Je t’aime… », murmure Lucie dans la chaude interlude de ses baisers renouvelés.

Les deux adolescentes sont debout, près de la table. Lucie enlace Anne et fait tout, caresses et baisers. Anne subit l’assaut sans remuer un muscle. Béatrice commence à détester l’amie de sa fille en la voyant trop bien obéir aux nègres, qui bientôt sifflent et noient les « petites salopes » sous leurs quolibets…

Bir yanıt yazın

E-posta adresiniz yayınlanmayacak. Gerekli alanlar * ile işaretlenmişlerdir

aydınlı escort ankara escort bursa escort bayan görükle escort bursa escort bursa merkez escort bayan hurilerim.com Escort Hacklink Hacklink panel Hacklink kocaeli esgort keçiören escort etlik escort çankaya escort keçiören escort escort ankara escort bayan izmir escort izmit escort karabük escort karaman escort kars escort kastamonu escort kayseri escort kıbrıs escort kilis escort kırıkkale escort kırklareli escort kırşehir escort kocaeli escort konya escort kütahya escort malatya escort manisa escort maraş escort mardin escort mersin escort sinop escort şırnak escort sivas escort tekirdağ escort tokat escort trabzon escort tunceli escort zonguldak escort urfa escort uşak escort etiler escort otele gelen escort Ankara escort bayan Ankara Escort Ankara Escort Rus Escort Eryaman Escort Etlik Escort Sincan Escort Çankaya Escort ankara escort escortsme.com bursa escort beylikdüzü escort Antalya escort Kartal escort Maltepe escort Pendik escort otele gelen escort keçiören escort etlik escort çankaya escort Escort bayan Escort bayan escort escort escort travestileri travestileri bursa escort görükle escort bursa escort bursa escort bursa escort bursa escort By Casino ankara travesti bursa escort bursa escort bursa escort bursa escort bursa escort mamasiki.com bucur.net hayvanca.net lazimlik.net cidden.net anadoluyakasikadin.com kadikoykadin.com atasehirkadin.com umraniyekadin.com bostancikadin.com maltepekadin.com pendikkadin.com kurtkoykadin.com kartalkadin.com bursa escort görükle escort bursa escort antalya escort
artvin escort aydın escort balıkesir escort bartın escort batman escort bayburt escort bilecik escort bingöl escort bitlis escort bolu escort
Hacklink