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Ma Vie Ch. 03

Babes

La vie reprit, étrangement normale, mais pour moi rien ne serait jamais comme avant. J’avais perdu une sorte d’innocence. Jusqu’à présent, j’avais vu ma mère humiliée. La honte que j’avais ressentie était due à ma participation à son humiliation. Mais à présent, c’est moi qui me sentais profondément humilié. Et curieusement, cela me rapprochait de ma mère dont je me sentais à nouveau très proche Lors de nos discussions le soir, nous avions retrouvé les éclats de rire qui s’était raréfié depuis quelques mois .

Sonia passait tous les deux ou trois jours, toujours le soir. Elle restait parfois à manger. Elle discutait essentiellement avec ma mère et, pour le laisser papoter, j’avais pris l’habitude de faire le service. Un soir que j’étais assis à table en écoutant d’une oreille distraite leur conversation quand Sophia se retourna vers moi

« Ouvre la bouche »

Surpris par cet ordre, je m’exécutais. Elle sortit de sa bouche un morceau de viande mâché et l’introduisit dans le mienne. Je fus dégoûté par ce bout de gras manchonné et imprégné de sa salive mais sans réfléchir, je le mâchais moi même pour parvenir à l’avaler.

À partir de ce soir-là, cela devint une sorte de rituel. Et je me retrouvais souvent à ingérer les aliments mâchonnés dont elle ne voulait pas. J’étais toujours humilié par le rôle de poubelle qu’elle me faisait tenir mais assez vite, le dégoût que j’avais éprouvé la première fois disparu. Il arriva même à ma mère de faire la même chose à mon grand étonnement.

Un soir, cela devait faire trois ou quatre semaines que je n’avais pas jouis et je commençais à nouveau à avoir du mal à supporter ma cage, je ne trouvais personne en rentrant des cours. J’appelais et ce fut Sonia qui me répondit

« Viens là, on est dans la chambre »

Je posais mes affaires et me dirigeai vers la chambre de ma mère.

Le spectacle me fascina. Ma mère était nue, ligotée sur le lit dans une position obscène. Elle avait les mains attachées à ses jambes et était immobilisée, à genoux, la tête posée sur l’oreiller, le cul en l’air. Ses jambes étaient écartées, attachées aux pieds du lit ce qui exposait à la vu son anus et sa chatte.Elle était bâillonnée par un bâillon boule, avait le visage rougi et semblait avoir pleuré.

Sonia était tranquillement assise dans un fauteuil.

« Déshabille-toi »

Je retirais mes vêtements machinalement, captivé par le spectacle stupéfiant que j’avais sous les yeux et je me retrouvais rapidement avec ma seule cage de chasteté, au milieu de la pièce. Je savais à la douleur que je ressentais que mon sexe bandé était rouge, écrasé par les barreaux de la cage sans avoir à le regarder.

« Tu as déjà vu le cul de ta mère? »

« Non Madame »

« Approche-toi…regarde le de plusprès »

J’entendis le cri de protestation de ma mère, étouffé par son bâillon.

Je m’approchais du lit observant avec sidération l’anneau fripé et brun de son anus entouré de poils follets.

« Approche-toi plus, mets-toi à genoux derrière elle »

La protestation de ma mère devenait une sorte de gémissement sonore. La douleur dans mon sexe devenait insupportable et je sentis des larmes sur mes joues. Je m’approchais encore, me mettant à genoux sur le lit. J’avais la tête à quelques centimètres de ce cul offert dont je pouvais percevoir l’odeur aigre et lourde. Visiblement, ma mère ne s’était pas douché avant cette séance.

« Sens-là »

Je me penchais et posais mon nez sur son anus. L’odeur était là beaucoup plus forte, une odeur de sueur lourde et terreuse. Je pouvais percevoir l’odeur des excréments mais l’ensemble n’était pas si désagréable que je m’y serais attendu. L’idée d’être là, à quatre pattes, en train de renifler le cul de ma mère me faisait trembler à la fois de honte et d’excitation.

« Lèche, nettoie-lui le cul »

Ma mère poussa un sort de hurlement rauque et gigota dans ses liens.

Hypnotisé, je posai ma langue sur la chair ridée. Le goût était étrange, aigre et amer. Je sentis sous ma langue de minuscules particules solides se détacher et je les avalais avec un mélange de dégoût et de fascination. Je léchais longuement, enduisant la chair tendre de salive, jusqu’à ce que je n’eus plus aucun goût dans la bouche

« Rentre ta langue »

J’essayais de faire pénétrer ma langue dans le sphincter mais celui-ci était fermé, crispé, je réessayais plusieurs fois, mais sans succès et ma langue commença à me faire mal à force d’appuyer sur chair fermée. Alors j’abandonnais et me redressais. Ma mère pleurait doucement. J’entendis un soupir sonore derrière moi et je me retournais pour voir Sonia les joues rouges, les yeux fermés, affalée dans le fauteuil, jambes largement écartées, la main dans son jean. C’était le première fois que je la voyais jouir. Il y eut un instant de silence, troublé seulement pas les sanglots étouffés de ma mère.

Au bout d’un moment, Elle rouvrit les yeux et me regarda avec un regard embué. Puis, elle se reprit, se redressa et se leva du fauteuil.

« Viens-là »

Je descendis du lit et me dirigeai Escort Büyükçekmece vers le fauteuil comme un zombie. J’avais encore le goût aigre/amer dans la bouche.

« Assied-toi »

Sitôt assis, elle me ligota ferment sur le fauteuil. Puis elle parut hésiter un moment et cherchait je ne sais quoi dans la pièce. Tout d’un coup, elle sembla avoir une idée et sortit de la chambre. Ma mère avait arrêté de sangloter. Après quelque instant, Sonia revint avec un large rouleau de scotch à le main. En passant, elle fouilla dans les vêtements de ma mère et saisit quelque chose que je ne vis pas. Revenant vers moi, elle me fit ouvrir la bouche et y introduisit un bout de nylon et me bâillonna avec une bande de scotch. C’est alors seulement que je compris que ce que j’avais dans la bouche était la culotte de ma mère. Je perçus un vague goût salé, une certaine amertume.

Sonia me retira ma cage de chasteté puis elle s’assit sur le lit, à coté de ma mère dont elle caressait tendrement les cheveux. Nous restâmes ainsi pendant une dizaine de minutes. Je sentais que ma salive délayait les sécrétions et la culotte devenait gluante dans ma bouche.

Soudain, on sonna à l’entré. Sonia se leva et sortit.il y eut des bruits de voix étouffés . Je me demandais qui était là et ce que Sonia avait dans la tête. Quand elle revint, elle était suivie par un homme grand, cheveux poivre et sel. Je lui donnais 45/50 ans. Il observa la scène que nous offrions, ma mère et moi, d’un air blasé puis il se déshabilla, posant soigneusement ses vêtements. Il était en demi-érection. Son sexe était circoncis, peut-être un peu plus gros que le mien mais sans excès. Sonia se mit à genoux devant lui, saisit son sexe et lui fit une fellation. Au bout d’un court instant, elle se releva, l’homme était maintenant en pleine érection. Il s’approcha de ma mère, promena un instant son pénis sur sa chatte exposée. D’où j’étais, je voyais tout et je sentis mon érection pointer contre mon ventre. Au bout d’un moment, il introduisit son sexe. Ma mère eu une sorte de gémissement. Ce type baisait ma mère devant moi. Il commença à faire des va-et-vient lents.

Cela dura longtemps. J’étais stupéfait de l’endurance du mec qui accélérait sa pénétration. Ma mère avait commencé à geindre sous ses coups de boutoir. J’étais incapable de savoir si c’était de peine ou de plaisir. Sonia c’était à nouveau assisse sur le lit et caressait doucement les cheveux de ma mère.

L’homme continuait à la pilonner, ses gémissements se faisaient plus fort, plus pressant et je compris qu’elle éprouvait du plaisir à être ainsi violé par cet étranger. Ses gémissements se changèrent en une plainte sourde, puis un soupir profond. Je sus qu’elle venait de jouir. Le type ralentit un moment son mouvement…puis repris son rythme. C’était incroyable, ça devait faire dix minutes qu’il baisait et il semblait contrôler encore parfaitement son plaisir. Assez vite, ma mère eut une seconde jouissance puis il la saisit brusquement par les hanches, s’enfonçant à fond en elle, il poussa un grognement sourd…et je jouis! Je sentais mon propre sexe tressauter en projetant des giclées de sperme chaud contre mon ventre tandis que lui faisait pareil au fond du ventre de ma mère.

J’étais dans un état second quand je le vis se retirer. Un filet de sperme globuleux s’échappant de sa chatte grande ouverte.

Ma mère s’était remise à pleurer doucement. Maintenant que l’excitation était tombée, je m’aperçus que le type n ‘avait pas mis de préservatif. Sonia se leva et vint l’embrasser à pleine bouche et je compris à cet instant qu’ils s’aimaient. Le gars se rhabilla et partit. Sonia m’essuya, nous détacha, moi et ma mère et nous nous retrouvâmes tous les trois dans le salon, ma mère et moi toujours nus.

«Hélène, Pascal, je vais m’en aller »

ma mère baissât la tête en répondant.

« Tu pars avec lui »

« Oui, il s’appelle Marc, on sort ensemble depuis six mois et on va partir ensemble »

Il y eut un instant de silence

« Je voulais te dire Hélène, …j’ai beaucoup aimé ce qu’on a fait ensemble…que je t’aime et que je ne t’oublierai jamais…Pascal, ça a été super de jouer avec toi.. »

« On ne se reverra plus? »

« Il ne faut jamais dire jamais Hélène, mais si un jour on doit se revoir, ça me fera plaisir …allez, rhabillez-vous…Pascal, je sais qu’Hélène peut supporter tout ce qu’on a fait ensemble, j’espère du fond du cœur que je n’ai pas fais une connerie en te mêlant à nos jeux…mais c’était si excitant »

Je regardais ma mère. Elle me fixait l’air inquiet

« Non, ne t’inquiète pas Sonia, ça va bien. Ma mère restera toujours ma mère, quoique nous ayons pu faire »

Sonia se leva, embrassa longuement ma mère, puis vint m’embrasser à mon tour.

« Bon…j’aime pas les adieux…Portez-vous bien »

Elle prit ses affaires et sortit.

Nous étions un peu perdus tous les deux. Nous nous habillâmes et partîmes chacun dans notre chambre.

Chapitre 4

Les jours suivants furent un peu bizarres, nous Çatalca escort avions du mal à oublier ce qui s’était passé et à digérer le départ de Sonia…et puis, avec le temps tout rentra dans l’ordre et nous redevînmes un couple Mère/Fils normal….simplement avec des souvenirs extraordinaires.

Un soir, des mois après tout ça, nous étions allés au restaurant et avions pas mal bu. Le soir, en prenant un dernier verre, je lui posais un question qui me tourmentais.

« Maman, je peux te demander quelque-chose »

« Bien sûr mon fils »

« Euh…Est-ce que tu aimes la soumission?»

Elle reposa doucement son verre avant de me répondre

« Tu dis ça à cause de ce qui s’est passé avec Sonia? »

« Oui »

« Non, en fait, je serai plutôt le contraire avec les hommes. Mais là, c’était spécial. C’était la première fois..et la dernière »

« Qu’est-ce que tu veux dire quand tu dis le contraire avec les hommes »

« Qu’avec les hommes c’est plutôt moi qui aime dominer

J’étais éberlué pas sa réponse

« Tu veux dire que tu as déjà eu des relations D/S avec les hommes?»

Elle éclata de rire.

« Ben oui, ça m’est arrivé, c’est un truc qu’on vivait déjà de la vie de ton père »

« Tu dominais papa? »

« Oui, on avait un couple un peu particulier…on s’aimait vraiment…lui préférait que ce soit moi qui dirige, et moi, disons que ça m’allait bien »

Je regrettais cette conversation. Il était évident que depuis Sonia, nous étions beaucoup plus libres dans nos discussions sur le sexe, mais je n’avais jamais envisagé les relations entre mon père et ma mère sur ce plan. Je changeai de sujet et n’abordais plus jamais ce sujet scabreux.

Les mois, et les années passèrent et je finis par effacer de ma mémoire cette période curieuse.

Il me restait cependant une chose qui ne me quitterait plus. J’étais extrêmement attiré par la domination féminine et je passais pas mal de temps sur internet sur des sites dédiés à ce sujet.

Chapitre 4

Je rencontrais Carole quand j’avais 21 ans. Je vivais toujours avec ma mère. Elle en avait 12 de plus que moi et sortait d’un divorce pénible d’avec un mari macho et violent. Elle me plus sitôt que je la vis. De taille moyenne, les cheveux bruns, de grands yeux noirs, elle avait clairement le type méditerranéen que ses ancêtres italiens lui avaient légué.Je lui plus à cause de mes manières douces, de mes attentions à son égard. Nous sortîmes ensemble pendant trois mois sans que rien ne se passe, si ce n’est des soirées passionnantes où nous découvrîmes que nous partagions beaucoup de chose. Je tombais follement amoureux d’elle.

Et puis un soir, elle m’invita chez elle pour prendre un dernier verre. Nous finîmes sur le lit, nus tous les deux. Je me penchais sur sa chatte. Elle avait une odeur musquée, un peu aigrelette . Les lèvres de son sexe émergeaient d’une épaisse toison noire. Je passais la langue dessus, goûtant leur saveur légèrement salée. Au bout d’un moment, je la sentis se détendre, son sexe s’ouvrir, son odeur se faire plus forte. Je rentrai ma langue dans son vagin, y récoltant une mouille fluide au goût douceâtre, A ce moment, elle me repoussa et me faisant allonger sur le dos, se mit à genoux au-dessus de moi et introduisit mon sexe dans son vagin. C’était mon dépucelage. Elle se faisait aller sur moi. Je voyais son visage à travers sa poitrine généreuse qui brinquebalait au rythme de ses va-et-vient. C’était trop fort et je jouis en elle. Elle cessa ses mouvements et me regarda l’air surpris.

« Je suis désolé »

« C’est pas grave, ne t’inquiète pas »

« Tu sais, c’est la première fois »

« Tu veux dire…tu n’as jamais fait l’amour »

« Non »

Elle s’allongeât à côté de moi en me caressant doucement le torse.

Je me tournais, la pris dans mes bras et nous nous embrassèrent

« Carole je t’aime »

« Shut shut, ne dis pas ce genre de chose n’importe comment»

« Mais c’est vraiment ce que je ressens »

« Pascal, tu es si jeune, tu ne connais rien de moi »

Elle me caressait doucement le visage et nous nous endormirent ainsi, dans les bras l’un de l’autre.

Je me réveillais en entendant le bruit de la douche. Carole sortit comme une furie de la salle de bains, en sortie de bains et les cheveux enrubannés dans une serviette de toilette.

« Dépêche-toi Pascal, j’ai une réunion ce matin »

Je me levais un peu groggy , respirant l’odeur étrangère d’une chambre féminine et partit à mon tour dans la salle de bains.

Quand je ressortis après ma douche, elle était déjà habillée et se maquillait. Ses cheveux étaient impeccablement coiffés et je me demandais un instant comment elle avait pu faire tout ça en si peu de temps.

« Tu veux être un trésor, va faire le café , tout est dans le placard du haut»

J’enfilais rapidement mon boxer short et filai à la cuisine.

Je venais de finir de préparer les bols quand elle arriva. Je fus saisi un instant par sa beauté sexy. J’avais une énorme envie de la prendre Esenler escort bayan dans mes bras et de l’embrasser, mais je sentais bien que ce n’était pas le moment..

Elle s’assit table, je luis servit son café et ses tartines. Elle avait déjà pratiquement fini son petit-déjeuner quand je m’assis pour prendre le mien.

« Eh, tu n’es pas habillé, dépêche-toi, je t’ai dit que j’étais pressé »

Je me relevais et retournais dans la chambre pour m’habiller

Quand je redescendis, elle m’attendait, son blouson sur les épaules et son sac à la main

« Bon allez, on y va!»

Je me pressais et nous sortîmes précipitamment.

Elle partit dans sa voiture, moi dans la mienne et, en rentrant, je me persuadais que c’était la dernière fois que je voyais Carole et j’avais le cœur gros.

Ma mère s’aperçut évidemment de mon malaise le soir au repas

« Pascal, ça ne va pas? Tu n’as rien mangé »

« Si maman, ça va »

« Dis-moi ce qui ne va pas! »

Je n’osais par lui dire ma détresse.

« Non, je te promets, ça va, c’est juste que je me sens fatigué »

Elle ne fixait l’ait perplexe.

Je ne dormis pas cette nuit-là

Le lendemain fut une sorte d’enfer. Je m’aperçus à quelle point j’aimais cette femme et à quel point elle me manquait.

En rentrant le soir, j’évitais ma mère en disant que je n’avais pas faim, ce qui était vrai.

Elle me rappela le surlendemain et m’expliqua qu’elle ne m’avait pas fichu à la porte mais qu’elle était réellement pressée. Nous nous revîmes le soir même et fîmes de nouveau l’amour. Je me retins un peu plus longtemps, mais je ne crois pas qu’elle ait eu d’orgasme ce soir-là.

À partir de cette date, nous nous vîmes pratiquement tous les jours, faisant l’amour deux ou trois fois par semaine. Elle était de plus en plus directive, mais je trouvais ça naturel, compte tenu de notre différence d’âge et d’expérience. J’étais de plus en plus amoureux d’elle et m’émerveillais tous les jours qu’une femme comme elle s’intéresse à moi.

Ça faisait quatre mois que nous étions ensemble quand ma mère l’invita à manger pour la rencontrer. Carole n’était visiblement pas ravie par cette invitation mais l’accepta de bon cœur.

J’avais moi-même le cœur battant quand j’allais lui ouvrir la porte, me demandant comment la soirée allait se passer entre les deux femmes de ma vie.

En fait, le courant passa immédiatement entre elle et ma mère et après un quart d’heure, tout en sirotant l’apéritif que je leur avait servis, elles papotaient en riant comme deux vieilles amies. Je me trouvais un peu exclu de leur conversation et cette situation me rappela celles que j’avais vécu avec Sonia.

Pour ne pas interrompre leur prise de contact, je fis le service durant tout le repas, retrouvant à nouveau de vieux réflexes. Je débarrassais le table tandis qu’elles étaient passées au salon pour prendre leur café. Je les entendais parler, les éclats de rire de ma mère, les expressions d’étonnement de Carole, mais je ne comprenais le sujet de leur discussion.

Quand je revins au salon, la conversation s’arrêta brusquement. Les deux femmes avaient les joues rouges et le regard brillant. Nous avions pas mal bu à table et ceci expliquait sans doute cela. Il y eut un instant de silence pesant quand ma mère relança un débat sur la nouvelle mode chez les jeunes de se faire tatouer ou percer, Carole n’était pas aussi négative sur le sujet et leur discussion reprit comme précédemment sur des sujets qui ne ‘intéressait pas suffisamment pour que j’essaie de la suivre, et encore moins de m’en mêler.

Assis tranquillement dans mon coin, j’observais avec ravissement la complicité évidente qui était née entre les deux femmes en l’espace d’une soirée.

Carole partit vers minuit, en m’embrassant longuement, lovant de manière autoritaire sa langue dans ma bouche. Je sentis mon sexe se raidir dans mon jean et refermai le porte à regret sur mon amante.

Quand je revins dans le salon, je ne pus m’empêcher d’interroger ma mère.

« Alors, comment tu la trouves »

« Elle est adorable »

L’expression me surprit.

« Nous avons discuté comme si nous nous connaissions depuis des années »

« Oui, j’ai vu »

« Je te remercie Pascal d’avoir fait le service »

« De rien maman, ça m’a fait plaisir de vous laisser discuter ensemble »

Elle se leva de la banquette

« Bon, allez, il est tard, on va se coucher »

Quand je vis Carole, le lendemain, je lui posai la même question. Elle me fixa avec un regard étrange.

« Ta mère est une femme formidable…si ce n’était pas ta mère, je m’en ferais bien une amie »

« Qu’est-ce qui t’empêche d’être amie avec ma mère? »

« Je ne sais pas…ça me paraît difficile…je ne sais pas pourquoi »

À partir de ce jour, Carole vint manger fréquemment à la maison et la même scène se reproduit à chaque fois, moi faisant le service et elle discutant ensemble, sans trop faire attention à moi »

Et puis un jour, Carole me proposa de venir m’installer chez elle. J’en parlais avec ma mère qui ne parut pas surprise. J’emménageai chez Carole le jour du 9ème mois de notre rencontre. Dès les premiers jours, il fut évident que Carole attendait de moi que je fisse l’essentiel du ménage. Cela ne me gênait pas. J’étais tellement amoureux que j’aurais fait n’importe quoi pour lui être agréable.

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